Chasseurs esquimaux à la tête du lac Baker (Territoires
du Nord-Ouest) |
Date: |
1893 |
Image: |
309 x 400 (31.1 K) |
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Esquimaux dans un bateau (baie d'Hudson, T.N.-E.) |
Date: |
1897 |
Image: |
500 x 307 (39.5 K) |
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Les naturels ont un autre bateau appelé l'umiak
ou bateau des femmes. Il est fait également d'une carcasse en bois
recouverte de peaux mais il est beaucoup plus grand que le [kayak] de chasse
des hommes. Comme forme, il ressemble à un grand bac à avant
carré, il mesure vingt pieds et plus de longueur et six pieds ou
plus de coupe transversale; vers les extrémités, il s'amincit
à la moitié à peu près de cette largeur. Il
est fait souvent assez profond et peut porter un fort chargement. Généralement
deux familles ou plus se servent d'un seul umiak pour transporter
leurs affaires de place en place et comme les poteaux et les grandes peaux
de phoque qui couvrent chaque tente pèsent plus d'une demi-tonne,
on peut se rendre compte de la capacité de ces navires.
— A.P. Low,
Croisière du "Neptune", 1903-1904
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hoto de deux petites naturelles |
Date: |
1912 |
Image: |
500 x 360 (29.8 K) |
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Sans titre |
Date: |
1932 |
Image: |
500 x 360 (23.7 K) |
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Il était une fois un garçon qui posait des
collets pour gagner sa vie. Un jour, il a vu une piste où la neige
avait fondu et il a décidé après un certain temps de
poser ses collets là pour attraper l'animal qui avait laissé
ces traces. Il a installé ses collets et il est parti. Les traces
étaient celles du soleil, et quand le soleil est revenu, le lendemain,
il s'est fait prendre. Le soleil ne s'est pas levé le jour suivant
et il faisait continuellement noir. Les gens ont commencé à
se poser des questions. « Où as-tu posé tes collets?
» lui ont-ils demandé. Il le leur a dit et ils sont allés
voir. Rendus là, ils ont vu que le soleil était pris, mais
personne ne pouvait approcher assez pour le libérer. Des animaux
ont essayé, mais ils se sont tous fait brûler. Finalement,
la souris-castor a réussi à couper le collet avec ses dents
et à libérer le soleil. Mais elle a eu les dents brûlées
par la chaleur du soleil, c'est pourquoi elle a encore les dents brunes,
mais le soleil est là et il nous donne sa lumière.
— Raconté par Aleck Paul, second chef de la bande de Timagami,
à F.G. Speck
— Myths and Folk-lore of the Timiskaming
Algonquin and Timagami Ojibwa — Mémoire 71 de la CGC |
Sépulture sauvage (Ojibway) lac Round, canton de Moss |
Date: |
1891 |
Image: |
500 x 323 (39.2 K) |
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Sauvages Micmacs Oldham (Nouvelle-Écosse). |
Date: |
1913 |
Image: |
500 x 336 (38.4 K) |
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Les Ojibway attribuaient presque tous les pictographes
aux Iroquois. Sur le lac Lady Evelyn se trouvent des figures représentant
des animaux et des hommes en canots. — F.G. Speck, Myths
and Folk-lore of the Timiskaming Algonquin and Timagami Ojibwa
— Mémoire 71 de la CGC, no 9, Série anthropologique,
1915 |
Sauvages de Caughnawaga (Québec). |
Date: |
1913 |
Image: |
500 x 340 (36.7 K) |
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Totem surmonté d'un aigle extrémité est de l'île
Maud (Colombie-Britannique) |
Date: |
1913 |
Image: |
271 x 400 (28.7 K) |
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« Les Iroquois venaient ici pour combattre les Ojibway,
parce que les Américains les avaient chassés de leurs territoires
aux États-Unis et les Iroquois devaient se chercher de nouveaux territoires
par delà les établissements dans le Nord. Dans leurs excursions,
lorsqu'ils étaient loin de chez eux, ils gravaient et peignaient
des images dans les roches sur les berges des rivières et des lacs
pour que leurs amis, s'ils se rendaient aussi loin, sachent que certains
des leurs étaient passés par là avant eux. Les personnages
de ces images racontaient ce qui était arrivé, de sorte que
si le détachement d'avant-garde ne revenait pas, il resterait au
moins une preuve de leur passage. »
- Chief Aleck Paul, 1913 |
Au lac Gotcheo, un lieu de villégiature célèbre
des Sauvages, un pignon d'un de leurs bâtiments appelé maison
Culla-Culla, c'est-à-dire maison d'oiseau, est orné d'une
grosse corneille sculptée, plutôt bien, dans le bois et peinte
en noir. Les Sauvages me disent que cette habitation a été
construite par les Sauvages Bella Coola, puisque les naturels d'ici ne connaissent
pas très bien la peinture et la décoration. C'est un curieux
exemple de mélange de coutumes de deux tribus qui sont maintenant
amies.
- George M. Dawson,
The Journals of George M. Dawson: British Columbia,
1875-1878, Vol. 1, 1876 |
Tente sauvage, Fond-du-Lac, lac Athabasca (Alberta) |
Date: |
1914 |
Image: |
500 x 333 (26.0 K)) |
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Sauvages Chippewyan Fond-du-Lac, lac Athabasca (Alberta) |
Date: |
1914 |
Image: |
500 x 344 (37.0 K) |
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Quatre joueurs de tambour Cris à une danse du thé Fort
Chippewyan (Alberta) |
Date: |
1914 |
Image: |
500 x 399 (34.3 K) |
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Pierre Pierrot (Chippewyan) avec deux gros « inconnus » (saumon
du Mackenzie), à notre camp, sur la rivière Taltson, à
l'embouchure de l'anse Pierrot (Nord de l'Alberta) |
Date: |
1914 |
Image: |
295 x 400 (25.7 K) |
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Petite sauvagesse (Crie et Chippewyan) à notre camp, à
l'embouchure de la rivière Taltson, tenant à la main un panier
d'écorce de bouleau (Territoires du Nord-Ouest ou Nord de l'Alberta) |
Date: |
1914 |
Image: |
480 x 400 (38.0 K) |
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Groupe de Chippewyan à notre camp rivière Taltson, à
l'embouchure de l'anse Pierrot (Territoires du Nord-Ouest ou Nord de l'Alberta) |
Date: |
1914 |
Image: |
500 x 349 (40.0 K)) |
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Garçon sauvage devant un tipi à Pointe-de-Grovois rivière
Slave (Territoires du Nord-Ouest) |
Date: |
1914 |
Image: |
500 x 329 (30 K) |
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Garçon métis avec deux alouettes cornues et un bâton pour faire tomber les
oiseaux au sol Fort McMurray (Alberta) |
Date: |
1914 |
Image: |
500 x 392 (27 K) |
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Alexander LaViolette, un chef des Chippewyan (3/4 Chippewyan et 1/4 Français)
jouant aux dames; il est à l'arrière-plan dans le groupe de
quatre hommes Fort Chippewyan (Alberta) |
Date: |
1914 |
Image: |
500 x 326 (32 K) |
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James Daniell, métis Saulteux, avec des poissons qu'il vient juste
de prendre au filet; on voit aussi sa femme et ses chiens. Sa pêche
comprenait une laquaiche aux yeux d'or (main droite), un brochet et un corégone
(main gauche) Fort Chippewyan (Alberta) |
Date: |
1914 |
Image: |
500 x 347 (31 K) |
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Il était une fois un chasseur qui courait si vite
que lorsqu'il lançait une flèche depuis la rive à un
castor qui plongeait dans le lac, il courait et attrapait le castor par
la queue avant que la flèche l'atteigne et il le tenait jusqu'à
ce que la flèche le frappe. Il était vraiment très
rapide.
— Raconté par Aleck Paul, second chef de la
bande de Timagami, à F.G. Speck
— Myths and Folk-lore
of the Timiskaming Algonquin and Timagami Ojibwa — Mémoire
71 de la CGC, no 9, Série anthrolopologique, 1915 |
Tipi sauvage, fille et garçon Banff (Alberta) |
Date: |
1915 |
Image: |
500 x 344 (41 K) |
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Sauvages Assiniboines Banff (Alberta) |
Date: |
1915 |
Image: |
500 x 320 (32 K) |
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