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temp2.gif Consommation d'eau et eaux usées dans le bassin de Georgia
un indicateur de la durabilité des ressources
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Que se passe-t-il?

La population de la Colombie-Britannique est concentrée dans le bassin de Georgia (74 % en 2000). En 2001, 77 % de l’eau municipale utilisée dans la province l’était à cet endroit. Comme le montre le graphique ci-dessous, cette année-là, on a consommé une moyenne de 1 619 989 kilolitres (1 kilolitre = 1000 litres) par jour d’eau municipale dans le bassin, une baisse legère de 1 636 673 kilolitres consommés en 1999. Parallèlement à la croissance démographique, la consommation d’eau municipale dans le bassin a constamment augmenté depuis 1983. Entre 1983 et 2001, la consommation quotidienne d’eau municipale, mesurée en Débit quotidien moyen (DQM), a augmenté de 41 %. Étant donné que la population du bassin desservie un réseau d’adduction d’eau municipal a crû de 55 % durant cette période, la consommation quotidienne d’eau municipale par personne a, en réalité, diminué (d’un maximum de 724 litres en 1986 à 618 litres en 2001 [comprend tous les secteurs de la consommation d’eau municipale]). Ce taux de consommation de 2001 pour tous les secteurs dans les bassin de Georgia était semblable au taux de consommation national de 2001, soit 622 litres par personne (Environnement Canada, 2005a), mais inférieur au taux de consommation quotidienne de la Colombie-Britannique en 2001, de 651 litres par personne.

Graphique de l'

Source : Environnement Canada, Données sur l'utilisation de l'eau par les municipalités, 2005b. La consommation quotidienne d’eau par personne est le totale d'eau utilisée (en DQM) à partir de toutes les sources divisé par la population desservie par le réseau d'adduction d'eau municipale. A noter que les résidentes ne sont pas directement liés à la consommation d'eau dans les secteurs commerciales, industrielles et autres dans le bassin de Georgia. Voir Ensemble de données pour plus d’information.

DONNÉES DU GRAPHIQUE

Les réseaux d’adduction d’eau municipaux en C.-B. prennent la majeure partie de leur eau à des sources d’eau de surface. En 2001, des sources d’eau souterraine ont été utilisées pour approvisionner 15  % de la population de la province desservie par des réseaux d’eau municipaux. Dans le bassin de Georgia, seulement 9  % de la population desservie par des réseaux municipaux en 2001 a été approvisionnée en eau souterraine. Pour plus d'information sur les eaux souterraines de la vallée du bas Fraser consultez l'indicateur d'eau souterraine.

Les eaux usées municipales traitées du bassin de Georgia sont principalement rejetées dans les eaux réceptrices du Fraser et des détroits de Georgia et de Juan de Fuca. Dans le bassin de Georgia, la quantité quotidienne moyenne d’eaux usées municipales traitées a augmenté de 62 % entre 1983 et 1999, suivant à l'ensemble une tendance semblable de la consommation quotidienne d’eau municipale. En 1983, plus de 96 % de la population desservie par un réseau d’égout était desservie par des stations d’épuration des eaux usées municipales, et ce pourcentage a atteint 99 % en 1999. Au cours de cette période, il y a également eu des améliorations du niveau de traitement des eaux usées. En général, on peut classer les stations d’épuration du bassin en quatre niveaux de traitement : préliminaire, primaire, secondaire, et perfectionné ou tertiaire. Le niveau de traitement des eaux usées dans le bassin varie d’une municipalité à l’autre. Toutefois, comme le montre le graphique ci-dessous, il y a eu une augmentation du pourcentage de la population municipale dont les eaux usées reçoivent un traitement secondaire. Cette augmentation a été graduelle entre 1983 et 1996, mais rapide entre 1996 et 1999.

wastewateradf_f.gif, 8KB

Source : Environnement Canada, Données sur l'utilisation de l'eau par les municipalités, 2005b. La consommation quotidienne d’eau par personne comprend les utilisations résidentielles, commerciales, industrielles et autres dans le bassin de Georgia. Voir Ensemble de données pour plus d’information. Les données de 2001 pour le traitment des eaux usées n'etaient pas suffisant pour la comparaison ci-dessus.

DONNÉES DU GRAPHIQUE

wastetreatment_f.gif, 23KB

Source : Environnement Canada, Données sur l'utilisation de l'eau par les municipalités, 2005b et ministère de la Protection des eaux, des terres et de l'air de la C.-B . 2001. Voir Ensemble de données pour plus d’information. Les données de 2001 pour le traitment des eaux usées n'etaient pas suffisant pour la comparaison ci-dessus.

DONNÉES DU GRAPHIQUE

Avant 1999, moins de vingt pour cent de la population municipale du bassin de Georgia était desservis par un traitement secondaire ou tertiaire des eaux usées. En 1999, ce pourcentage était de 55 %.

Pourquoi en est-il ainsi?

Étant donné que le Canada possède d’abondantes ressources en eau, les gens sont souvent portés à prendre l’eau pour acquise, ce qui se reflète dans leur consommation. En moyenne, les Canadiens qui habitent les villes consomment près de deux fois plus d’eau par personne que les habitants des villes de la plupart des autres pays industrialisés, à l’exception des États-Unis (Environnement Canada, 2001b).

Graphique de l'utilisation municipale de l'eau par secteur dans le bassin de Georgia en 2001

La consommation d’eau municipale dans le bassin de Georgia comprend les utilisations résidentielles, commerciales, industrielles et autres. Plus de soixante pour cent de cette eau est utilisée à des fins ménagères, comme la cuisson, le nettoyage, les soins corporels, les chasses d’eaux, l’arrosage des pelouses et le remplissage des piscines. Vingt-huit pour cent sert à des fins commerciales et industrielles, et le reste 6 % à d’autres utilisations, comme la lutte contre les incendies et les fuites des grandes canalisations. Les fuites peuvent représentées un grand pourcentage du secteur « pertes - réseaux  » d’eau municipale.

Une analyse de la consommation quotidienne totale d’eau municipale dans le bassin de 1991 à 2001 a confirmé l’importance de l’utilisation résidentielle. Comme le montre le graphique ci-dessous, ce secteur a consommé la majeure partie de l’eau municipale et a connu la plus forte augmentation de la consommation quotidienne totale au cours de cette période de 11 ans (28 % ou 228 610  kL/jour). Durant cette période, la population du bassin desservie par un réseau de distribution d'eau a augmenté de 638 240  personnes, pour atteindre un total de 2 622 216  en 2001. Cette croissance a imposé une demande sur les approvisionnements locaux en eau et sur les installations de traitement plus forte que celle pour laquelle elles avaient été conçues. La population du bassin devrait augmenter de 35 %, pour atteindre un total de 4 millions de personnes en 2020 (J. Thornburg, Environnement Canada, comm. pers., 2001).

graphique de la consommation quotidienne totale d'eau municipale par secteur dans le bassin de Georgia, 1991 à 2001

Source : Environnement Canada, Données sur l'utilisation de l'eau par les municipalités, 2005b. Voir Ensemble de données pour plus d’information.

DONNÉES DU GRAPHIQUE

Même si la demande totale en eau municipale du bassin augmente, la consommation quotidienne totale par personne (consommation d’eau par personne) a baissé. En 2001, chaque personne vivant dans le bassin consommait 403 litres par jour, soit un peu moins que la moyenne provinciale de 425 litres par jour durant la même période, mais beaucoup plus que la moyenne nationale de 335 litres par jour (Environnement Canada, 2005a).

Source : Environnement Canada, Données sur l'utilisation de l'eau par les municipalités, 2005b. Voir Ensemble de données pour plus d’information.

DONNÉES DU GRAPHIQUE

Pourquoi est-ce important?

L’eau est essentielle pour la vie, la santé et la survie des plantes, des animaux et des personnes. Des niveaux élevés de consommation de l’eau ont des conséquences environnementales et économiques, dont des coûts accrus pour les infrastructures et une plus grande consommation d’énergie, et peuvent exercer de grandes pressions sur les approvisionnements en eau. Durant la période de 1994 à 1999, 49 % des municipalités du bassin ont signalé des problèmes de quantité d’eau (Environnement Canada,  2005b). Les raisons étaient principalement liées à des pénuries saisonnières dues à une baisse des précipitations, à une augmentation de la consommation, à des problèmes d’infrastructures et à la capacité limitée des réservoirs d’eau.

Plus on utilise d’eau, plus il faut d’énergie pour pomper l’eau potable et les eaux usées, et plus il y a d’eaux usées à traiter. Une grande consommation d’eau dilue également les eaux d’égout brutes et les rend plus difficiles à traiter efficacement. Les effluents d’eaux usées municipales sont l’une des plus importantes sources de pollution, par volume, dans les eaux canadiennes (Environnement Canada, 2001b). lls peuvent avoir des impacts sur l’écosystème et la santé humaine ainsi que des impacts socio-économiques, notamment l’enrichissement des eaux réceptrices par des éléments nutritifs, l’appauvrissement de ces eaux enclam.jpg, 13KB oxygène dissous pouvant entraîner une mortalité massive chez les poissons, être toxique pour la faune, et dégrader l’eau, obligeant la fermeture de plages, et contaminer les zones coquillières. Par exemple, jusqu’à 60 % (63 000 hectares) des zones coquillières fermées de la C.-B. se trouvent dans le bassin de Georgia. Voir l’indicateur sur les mollusques pour avoir des liens sur les impacts des eaux usées. On se préoccupe également de plus en plus des impacts associés aux perturbateurs endocriniens (PE) et autres substances chimiques et produits pharmaceutiques courants dans les eaux usées municipales.

Les améliorations du traitement des eaux usées dans le bassin de Georgia ont été en grande partie attribuées à des modernisations dans le district régional de Vancouver (DRV). Le traitement préliminaire, le niveau le plus bas de traitement des eaux usées, desservait environ 9 % de la population du bassin en 1999; il est principalement limité au coeur de la région du district régional de la capitale (Esquimalt, Saanich, Oak Bay et Victoria), sur l’île de Vancouver. Le traitement primaire desservait 36 % (856 818 personnes) de la population du bassin en 1999, la majeure partie de ce traitement (89 %) se faisant dans des stations d’épuration de Iona Island et de Lions Gate du DRV. whistler_wastetrt3_f.jpg, 20KBDans le bassin, le traitement tertiaire est appliqué aux eaux usées de moins de 1 % de la population, Whistler ayant la plus grosse installation. En 1999, la tendance en matière de traitement des eaux usées était la même dans toute la province. Toutefois, à l’échelle de la province, un plus gros pourcentage de la population (8 %) était desservie par un traitement tertiaire, principalement dans la région de l’Okanagan. Ailleurs au Canada, pour plus de 94 % de la population desservie par un réseau d’égout en Ontario et dans les provinces des Prairies, les eaux subissaient un traitement secondaire ou perfectionné en 1999 (Environnement Canada, 2001c). Pour environ 43 % de la population desservie par un réseau d’égout au Québec, les eaux subissaient un traitement primaire et, pour 49 %, un traitement secondaire ou perfectionné. Dans les provinces de l’Atlantique, près de la moitié de la population desservie par un réseau d’égout rejetait ses eaux usées non traitées directement dans les eaux intérieures et côtières.

Que fait-on?

Le gouvernement fédéral soutient à tous égards la récente adoption par les gouvernements de l'approche à barrières multiples « de la source au robinet » visant à assurer la protection de l'eau potable destinée à la population canadienne. Elle souligne l'importance de protéger les lacs, les rivières et les aquifères, qui sont les sources de notre eau potable, et garantit également des systèmes efficaces de traitement et de distribution d'eau. Le gouvernement fédéral est résolu à améliorer sa recherche afin de déterminer, de comprendre et de réduire les incidences des substances micro-biologiques et chimiques, qui contaminent les sources d'approvisionnement en eau et les écosystèmes aquatiques, sur les humains et l'environnement. Le gouvernement collabore avec l'ensemble des provinces et des territoires afin de s'assurer que tous connaissent et comprennent les menaces pour la qualité de l'eau, et que des stratégies visant à réduire ou à supprimer les répercussions peuvent être appliquées dans chaque région. De plus, tous les gouvernements contribuent à l'accélération de l'élaboration de recommandations pour la qualité de l'eau potable et de l'eau des sources d'approvisionnement, en connectant des réseaux de suivi afin d'assurer un meilleur partage de l'information sur les questions et les tendances liées à la qualité de l'eau, et en offrant aux Canadiennes et aux Canadiens de l'information sur la qualité de leur eau.

Les administrations locales dans le bassin de Georgia font la promotion de l’utilisation efficace et de la conservation de l’eau par le biais de programmes de communication et d’éducation du public, ainsi que de mesures réglementaires comme des restrictions relatives à l’arrosage. Dans le bassin, ces dernières ont été appliquées dans certaines municipalités en 1993, en 1995 et depuis 1998. Les restrictions sont utilisées pour freiner l’augmentation de la demande, particulièrement durant les années de faibles précipitations et de faible approvisionnement en eau. Par exemple, le district régional de la capitale (DRC) de Victoria a émis des restrictions d’utilisation de l’eau de stade 3 (essentiellement pour l’arrosage des pelouses) pour 2001 en raison des plus faibles précipitations depuis 1900. Pour ce qui est des programmes spécifiques d’éducation du public, des plans stratégiques de gestion de l’eau et des incitatifs pour conserver l’eau dans le bassin, voir les sites Web du district régional de la capitale de Victoria, du district de vancouver nord et du district régional de Vancouver. Pour les initiatives à l’échelle de la province, consulter le site Web du ministère de la Protection des eaux, des terres et de l'air. Pour plus d'information vieillez consulté le site Web d'Environnement Canada sur l'economie et la conservation d'eau.  Environnement Canada et l’Association canadienne des eaux potables et usées fournissent également de l’information sur la consommation d’eau et les initiatives en matière d’utilisation efficace de l’eau parmi les municipalités sur leur site Web Base de données sur les expériences en matière d'économie d'eau au Canada.

conservation_e.gif, 8KBDe nombreux dispositifs économiseurs d’eau sont maintenant disponibles pour les maisons et les entreprises, dont des aérateurs à faible débit pour les robinets et des pommes de douche et des toilettes à faible débit. Une pomme de douche à faible débit prend moitié moins d’eau qu’une pomme de douche classique. En 1994, 43,4 % des ménages étudiés en C.-B. par water1_f.gif, 6KBStatistique Canada disaient utiliser des pommes de douche à faible débit et 15,9 %, des toilettes à faible volume. On peut également réduire la consommation d’eau des ménages pour utilisation extérieure en utilisant un paysagement, des dispositifs d’arrosage des pelouses, des pratiques de lavage des autos et de collecte des eaux pluviales plus efficaces. Pour plus d’information sur ces mesures et d’autres du même genre que les citoyens peuvent prendre pour conserver l’eau, prière de consulter le site Web d’Environnement Canada sur La conservation de l'eau : guide du consommateur.

À l’échelle nationale, le Conseil canadien des ministres de l’environnement a adopté, en 1994, un Plan d'action national pour encourager l'économie d'eau potable dans les municipalités. Ce plan d’action a donné lieu à la mise en oeuvre de nouvelles politiques et de nouveaux programmes gouvernementaux qui contribuent à l’utilisation efficace de l’eau, comme la pose obligatoire de compteurs d’eau, la vérification de l’utilisation et la modernisation des appareils, et la facturation en fonction du volume d’eau consommée et d’eaux usées produites. En décembre 2000, le gouvernement fédéral, la Fédération canadienne des municipalités et le Conseil national de recherches ont signé une entente dans le but d’élaborer un Guide national pour des infrastructures municipales durables : règles de l’art et innovations d’ici octobre 2004.

Les champs de compétence fédéraux et provinciaux examinent également des stratégies en vue d’uniformiser et d’améliorer la gestion des eaux usées municipales au Canada. Le gouvernement fédéral a annoncé dans son budget du printemps 2000 un investissement de 2,6 milliards de dollars dans les infrastructures physiques au Canada, réparti sur six ans. Ces fonds, ainsi que les contreparties municipales, provinciales et territoriales, totalisent plus de 6 milliards de dollars. Une partie est mise de côté pour des projets d’infrastructures écologiques, comme des initiatives liées aux eaux usées municipales. En juillet 1999, la province a adopté le Municipal Sewage Regulation. Nombre d’administrations locales ont également élaboré des plans de gestion des liquides, ou sont sur le point de le faire (DRV, DRC, district régional de Nanaimo, district régional de Cowichan Valley, district régional de Sunshine Coast et Union Bay).

À l’été 2000, le gouvernement fédéral a également fourni un fonds de dotation de 125 millions de dollars à la Fédération canadienne des municipalités qui comprenait un Fonds d'habilitation municipal vert et un Fonds d'investissement municipal vert. Ces deux fonds visent des solutions novatrices afin de promouvoir la réduction de la consommation d’énergie et la conservation de l’eau dans les municipalités canadiennes.

water7_f.gif, 5KBDiverses municipalités utilisent des incitatifs économiques, comme la tarification en fonction du volume (c.-à-d. compteurs d’eau), dans le but de conserver l’eau. En 1999, les ménages canadiens équipés d’un compteur d’eau ont consommé environ 288 litres par personne par jour. Les ménages qui payaient un tarif fixe ont consommé 433 litres par personne par jour, soit 50 % de plus (Environnement Canada, 2001a). À l’échelle du pays, 56 % de la population municipale est équipée de compteurs d’eau. L’Ontario et les provinces des Prairies ont le plus haut taux de ménages équipés de compteurs (83 et 88 % respectivement), et le Québec le taux le plus faible, avec 15 % (Environnement Canada, 2001d). Dans le bassin de Georgia, seulement 24 % des ménages sont équipés de compteurs, ce qui a très peu changé entre 1991 et 2001. La plupart des municipalités du bassin demandent un tarif fixe pour l’eau.

D’autres incitatifs économiques appliqués par un nombre croissant de municipalités sont une surtaxe sur les eaux usées ajoutée à la facture d’eau résidentielle, et des incitatifs financiers, comme des prêts à faible intérêt, des crédits d’impôt et des rabais pour l’installation d’appareils à faible consommation d’eau. Une utilisation plus efficace de l’eau permettra d’abaisser les coûts liés à l’eau et de prolonger la durée de vie utilie des installations municipales d’adduction d’eau et de traitement des eaux usées existantes. Parmi les incitatifs utilisés dans le bassin de Georgia figurent le Water efficient irrigation et les programmes de rabais pour l’installation d’appareils sanitaires de salle de bain dans le DRC.

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Pour plus d’information, prière de communiquer avec : Don.Bernard@ec.gc.ca pour les questions sur l’eau, ou Phil.Wong@ec.gc.ca pour les questions sur les eaux usées.

Consultez les sites suivants pour avoir plus d’information sur cet indicateur :

Pour consulter les références utilisées dans cet indicateur, cliquez ici.

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