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Bannière - Secteur Santé
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Programme sur le cancer


Le programme sur le cancer du secteur Santé de l'IRB comprend trois axes de recherche.

Associer l'imagerie et le diagnostic moléculaires avec la thérapie moléculaire
Le but de ce projet est de développer une médecine personnalisée en identifiant les cibles thérapeutiques et les marqueurs de tumeurs grâce aux technologies génomiques, protéomiques, bioinformatiques et de génie protéique. Ceci revient à identifier les substances thérapeutiques efficaces contre les cibles, à développer des techniques d'imagerie moléculaire pour sélectionner les patients et suivre leur réponse à la thérapie, et à mettre au point des systèmes d'administration des médicaments. Les objectifs ultimes sont d'établir des thérapies à toxicité réduite en attaquant les cibles tumorales causales, tout en dirigeant des toxines, des gènes et des protéines-suicides ainsi que des nanoparticules imprégnées de médicament vers des cibles secondaires associées. Les marqueurs potentiels seront validés, à l'aide de techniques d'imagerie non-invasives fondés sur l'optique ou la résonance magnétique, pour permettre de suivre la progression de la tumeur et la réponse à la thérapie.

Les groupes de recherche du secteur Santé qui participent à ces travaux sont notamment le groupe des Récepteurs, de signalisation et de protéomique, le groupe de RMN biomoléculaire, le groupe de Génétique et le groupe de Structure macromoléculaire. D'autres instituts de recherche du CNRC collaborent aussi à ces travaux : l'Institut des sciences biologiques (ISB-CNRC), l'Institut de technologie de l'Information (ITI-CNRC), l'Institut du biodiagnostic (IBD-CNRC) et l'Institut National de la Technologie (INT).

Développer et analyser des agonistes et des antagonistes des récepteurs aux facteurs de croissance d'intérêt thérapeutique
Le groupe de Récepteurs, signalisation et protéomique et le groupe de Chimie et biologie computationnelle se consacrent à la découverte et au développement d'antagonistes du facteur de croissance transformant β (TGFβ) et du facteur de croissance épidermique (EGF) dans le but d'inhiber la progression des métastases et des tumeurs. L'approche consiste à concevoir, faire exprimer et purifier des ligands EGF dimérisés pour les tester comme antagonistes ou agonistes. De plus, des méthodes computationnelles sont utilisées pour concevoir des domaines extracellulaires mutants du récepteur au TGFβ. Ceux-ci sont exprimés et purifiés pour être testés comme antagonistes potentiels. Le groupe de Récepteurs, signalisation et protéomique a récemment découvert les propriétés inhibitrices d'un anticorps monoclonal dirigé contre le récepteur de l'EGF. Cette étude, qui fait appel à l'analyse par biocapteur SPR, porte sur la caractérisation des affinités de liaison de cet anticorps pour les épitopes du domaine extracellulaire du récepteur de l'EGF (ErbB1).

Évaluer les rôles physiologiques et pathologiques des protéases dans le cancer
Le but de ce projet, qui couvre l'étude des protéases (qui dégradent les protéines) pertinentes à l'oncogenèse, est d'identifier des régulateurs d'activité essentiels pouvant être des médicaments-candidats potentiels pour contrôler la progression du cancer et des métastases. En montrant la surexpression et la sécrétion des cathepsines B, L et X dans des cellules tumorales invasives de poumon, d'ovaire et de prostate, l'existence d'un lien entre ces cathepsines et le cancer chez l'humain fut clairement établi. Les travaux sur la cathepsine X ont conduit à la découverte d'un anticorps dirigé contre cette protéine. De plus, grâce au criblage à haut rendement, plusieurs inhibiteurs non peptidiques de cette enzyme furent identifiés. Les groupes de recherche du secteur Santé s'emploient actuellement à déterminer si l'augmentation de l'expression de ces enzymes est une cause de l'agressivité invasive ou seulement un mécanisme auxiliaire concomitant au processus. Si c'est une cause, ces cathepsines pourront servir de cibles pour le développement de médicaments. Si c'est un effet parallèle concomitant, elles serviront de marqueurs de tumeurs pour suivre la progression thérapeutique.

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Date de modification: 2005-04-18
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