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University of Alberta
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Institut national de nanotechnologie

Personnes nommées conjointement

Ces membres du corps enseignant de l’Université de l’Alberta ont été nominés conjointement à l’Institut. Outre leurs responsabilités à l’université, ils collaboreront avec les chercheurs de l’INNT, dirigeront des projets de recherche et contribueront à la planification stratégique de l’INNT.

Subir Bhattacharjee

Le Dr Bhattacharjee, professeur adjoint du département de génie mécanique, a quitté Yale University et est arrivé à Edmonton l’automne dernier, où il a été nommé à une Chaire de recherche du Canada pour les colloïdes et les fluides complexes. Ses recherches se concentrent principalement sur le comportement des nanoparticules dans des domaines confinés. Les résultats de ses recherches ont été utilisés dans une vaste gamme d’applications en ingénierie, y compris la séparation de nanoparticules basée sur la membrane, l’ultrafiltration micellaire évoluée, le transport de virus et d’autres biocolloïdes dans les eaux souterraines et les appareils de séparation microfluidique et de caractérisation des particules. Il élabore actuellement des installations de recherche dotées des capacités de modélisation de surfaces lithographiques souples et de nanomanipulation de particules sur des surfaces à l’aide d’une combinaison de force atomique et de microscopie à fluorescence.

http://web.mece.ualberta.ca/~subir/

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Michael Brett

Dr Brett, professeur au sein du département de génie électrique et informatique, occupe la Chaire de recherche industrielle supérieure Micralyne/CRSNG en ingénierie de couches minces. Il a également été nommé boursier de recherche principal de l’initiative de génie physique à l’échelle nanométrique iCORE afin de diriger un projet en collaboration avec le Dr Mark Freeman.

L’étude de la microstructure des revêtements à couche mince du Dr Brett a mené à l’élaboration d’un simulateur connu partout dans le monde sous l’appellation SIMBAD utilisé pour prédire la structure de couches minces. La plupart des principales entreprises internationales de microélectronique et d’équipement, y compris IBM, Toshiba et Intel, ont fait l’achat de SIMBAD afin de l’utiliser dans le développement de procédés de circuits intégrés. L’intérêt du Dr Brett pour les microstructures l’a également amené, de même que son groupe de recherche, à inventer le procédé GLAD pour la nanoingénierie de couches minces capables de contrôler des structures à l’échelle nanométrique.

http://www.ee.ualberta.ca/~brett/

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Mark Freeman

Mark Freeman a obtenu son doctorat en 1988 à la Cornell University d’Ithaca, New York, où il a étudié les électrons « chauds » des métaux à des températures de milliKelvins en plus d’effectuer la première détection de résonance magnétique nucléaire (RMN) à l’aide d’un appareil d’interférence quantique superconducteur de courant continu. Son superviseur était le professeur R.C. Richardson, lauréat du prix Nobel de physique de 1996. En tant que membre du corps enseignant du département de physique, le Dr Freeman s’est vu décerner plusieurs prix et distinctions. Il prend actuellement part à titre d’associé au nouveau programme de nanoélectronique de l’Institut canadien des recherches avancées (ICRA) et a récemment été nommé boursier de recherche principal de l’initiative de génie physique à l’échelle nanométrique iCORE afin de diriger un projet en collaboration avec le Dr Michael Brett.

Le Dr Freeman est considéré comme l’un des plus éminents chercheurs en nanotechnologie au monde et est reconnu sur le plan international pour son travail sur l’imagerie de pointe des phénomènes magnétiques à l’état solide. Il a découvert un mode expérimental de réglage des conditions limites de la diffusion de quasi-particules à une interface entre l’hélium 3 superfluide et les surfaces solides, ce qui a permis des observations plus poussées quant au comportement du paramètre d’ordre superfluide. Il dirige un groupe de recherche pionnier des techniques stroboscopiques et microscopiques cherchant à réaliser un « documentaire » sur les procédés microscopiques. Ces travaux ont contribué à l’avancement technologique d’entreprises telles que Hewlett Packard et IBM.

http://laser.phys.ualberta.ca/~freeman/

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Jed Harrison

Le Dr Harrison a obtenu son doctorat en chimie au Massachussets Institute of Technology (MIT) et s’est joint au département de chimie en 1984. Chef de file dans le développement de systèmes d’analyse miniatures, il a obtenu nombre de prix y compris le Steacie Memorial Fellowship en 1996 et est le coauteur de plus d’une centaine d’articles scientifiques.

L’intérêt principal du laboratoire du Dr Harrison réside dans l’application de techniques de micro-usinage et de microfabrication aux capteurs chimiques et biochimiques ainsi qu’aux instruments. Les nouvelles méthodes de fabrication de semi-conducteurs peuvent être adaptées à la conception et à la fabrication de structures tridimensionnelles, lesquelles peuvent être utilisées comme capteurs chimiques. Les appareils microfluidiques, capables d’effectuer le prétraitement, la réaction et la séparation d’échantillons à l’aide d’une seule micropuce, constituent un nouveau développement issu de cette technologie. On appelle ces appareils « laboratoire sur une puce »; ils s’avèrent utiles pour les tests immunologiques pour l’abus d’hormones ou de drogues, les diagnostiques ADN, les analyses pour la contamination du sol et de l’eau et la détection d’agents de guerre bactériologique sur le terrain.

http://www.chem.ualberta.ca/faculty/harrison.htm

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Linda Pilarski

Linda Pilarski occupe un poste de professeure au sein du département d’oncologie et est une scientifique chevronnée du Cross Cancer Institute (Alberta Cancer Board). Ses intérêts de recherche comprennent le développement des globules blancs, le comportement des cellules et la biologie du myélome multiple, un cancer fatal de la moelle osseuse. Elle a introduit l’utilisation d’une technologie complexe pour l’analyse de molécules des cellules humaines individuelles pour mieux comprendre la nature du clonage du cancer du myélome multiple, le tout dans le but de développer une thérapie plus efficace. Elle siège au Conseil scientifique consultatif de plusieurs fondations médicales américaines et a publié plus de 150 articles.

http://www.ualberta.ca/~oncology/faculty/pilarski

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David Wishart

David Wishart occupe le poste de professeur agrégé et est titulaire de la Chaire Bristol Myers Squibb à la faculté de pharmacologie. Il est également professeur auxiliaire du département des sciences biologiques. Le Dr Wishart a passé les 12 dernières années à travailler dans le domaine de l’ingénierie des protéines, ce qui l’a amené à développer nombre d’outils et de techniques destinés à la conception, à la fabrication et à la caractérisation d’un vaste ensemble de nanomatériaux « mous » faits d’acides aminés ou d’autres biopolymères. Certains de ses travaux ont mené au développement d’anticorps artificiels pour la détection du cancer, au développement de logiciels pour aider à la conception et à l’autoassemblage de nouvelles protéines et à la création de « virus » artificiels autoassembleurs pour une dispensation de médicaments ciblée. Le Dr Wishart s’intéresse à la contribution de ces techniques au développement d’autres appareils nanobiologiques, comme les biocapteurs, les moteurs et les piles à combustible à base de protéines et, en bout de ligne, de cellules artificielles (nanorobots).

http://www.pharmacy.ualberta.ca/wishart.htm

Conseil national de recherches Canada-National Research Council
Date de publication : 2004-02-09
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