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Page d'accueil Environnement

Notre environnement partagé

Les Canadiens et les Américains respirent le même air, boivent la même eau et partagent la même responsabilité d'assurer un environnement sécuritaire, propre et sain aux générations à venir. La protection de notre environnement commun est un élément essentiel des relations canado-américaines; nous travaillons de manière bilatérale pour faire face à nos défis environnementaux et pour les résoudre. Le Canada et les États-Unis ont conclu de nombreus esententes afin d'officialiser et d'améliorer la collaboration entre nos deux pays en matière deprotection de l'eau, de l'air et de la faune. Il est clair que les Canadiens et les Américains accordent une grande importance à l'environnement; les pages de ce site offrent donc un aperçudes principales questions environnementales auxquelles sont confrontés le Canada et les États-Unis, ainsi que d'autres sources d'information.

PROTECTION CONJOINTE

PROTÉGEONS NOTRE FAUNE

QUALITÉ ET QUANTITÉ DE L'EAU

La coopération efficace qui caractérise les relations canado-américaines au chapitre des questions environnementales liées à l'eau remonte à près d'un siècle. Tout d'abord, le Traité des eaux limitrophes de 1909 a donné le ton des relations environnementales entre les deux nations en établissant le modèle de la protection conjointe des cours d'eau qui coulent et se déversent le long de notre frontière commune. La Commission mixte internationale (CMI), établie en vertu du Traité de 1909, continue de surveiller la quantité et la qualité de l'eau de notre bassin commun et d'aider au règlement des différends. En 1972, la signature de l'Accord relatif à la qualité de l'eau dans les Grands Lacs précisait l'engagement des deux pays à maintenir l'intégrité écologique des Grands Lacs. Grâce à cet accord, l'eau des Grands Lacs est plus propre qu'elle ne l'a été depuis 50 ans.

Toute fois, le Canada et les États-Unis doivent relever des défis de taille à l'égard de la qualité et de la quantité de l'eau. Par exemple, la Stratégie binationale sur les produits toxiques dans les Grands Lacs, adoptée en 1997, vise à éliminer presque intégralement le déversement de certains produits toxiques dans les Grands Lacs. De même, le rapport intitulé Protection des eaux desGrands Lacs publié en mars 2000 par la Commission mixte internationale rendrait pratiquement impossible, si ces recommandations étaient mises en ouvre, les prélèvements d'eau à grande échelle sur une longue distance. Le Canada a également promulgué une loi interdisant le sprélèvements massifs d'eau commune avec les États-Unis, y compris dans les Grands Lacs.

Le Canada et la Commission mixte internationale

La Commission est épaulée par des spécialistes qui ouvrent dans trois bureaux (Ottawa,Washington et Windsor). Elle comprend 20 conseils consultatifs et de réglementation, composés principalement - et à parts égales - de fonctionnaires canadiens et américains, qui exécutent leurs fonctions à titre personnel et professionnel, sans représenter leur organisme d'attache ou leur pays. Les travaux de ces conseils portent sur les eaux limitrophes et sur les rivières transfrontalières d'une côte à l'autre.

La CMI a bien servi les intérêts des Canadiens. Même si les gouvernements et les intérêts concernés ne sont pas toujours d'accord avec la Commission, son intégrité, son indépendance et son objectivité sont rarement mis en doute et il est généralement reconnu qu'elle protège les intérêts des citoyens des deux côtés de la frontière.

Prélèvement massif d'eau

Dérivation de Garrison / Décharge de Devils Lake

QUALITÉ DE L'AIR

La pollution de l'air a des répercussions néfastes sur la santé de tous les Canadiens et Canadiennes, plus particulièrement sur la santé des enfants, des personnes âgées et des personnes souffrant de troubles respiratoires et cardiaques.

Des études fédérales démontrent que chaque année plusieurs milliers de décès prématurés sont associés à la pollution de l'air et l'Ontario Medical Association déclare qu'il en coûte chaque année aux citoyens et citoyennes de l'Ontario plus d'un milliard de dollars en séjours à l'hôpital, en consultations aux services d'urgence et en absentéisme. Les données recueillies par le Service de santé publique de Toronto révèlent que la pollution de l'air cause chaque année le décès de centaines de personnes et de nombreux problèmes de santé.

Nous avons réalisé certains progrès en matière d'assainissement de l'air, mais l'augmentation des sources de pollution de l'air au Canada peut parvenir à annuler l'avance que nous avons prise.

LES CHANGEMENTS CLIMATIQUES

La communauté scientifique internationale a conclu à l'existence depreuves convaincantes que l'activité humaine, particulièrement les activités associées à la consommation d'énergie et au déboisement,accélérait la concentration des gaz à effet de serre dans notre atmosphère. On s'entend généralement pour dire que la communauté mondiale doit envisager la probabilité d'une augmentation de la température moyenne à la surface de la terre de l'ordre de 1,4 à 5,8 degrés Celsius d'ici 2100, ce qui aurait de graves conséquences sur la disponibilité mondiale des aliments et de l'eau, ainsi que bien d'autres répercussions.

Le Plan du Canada sure les changements climatiques expose une approche entrois étapes pour atteindre notre objectif de lutte contre les changements climatiques, soit une réduction annuelle de 240 mégatonnes (MT) des émissions de gaz à effet de serre (GES). Tout d'abord, il y a les investissements réalisés à ce jour qui permettront d'atteindre le tiers de l'objectif de réduction (80 MT). Ensuite, le Plan propose une stratégie concernant des réductions supplémentaires de 100 MT. Et enfin, il esquisse un certain nombre d'interventions en cours et potentielles qui devraient permettre au Canada d'effectuer les 60 MT de réductions qui subsistent.

PÊCHES

Entouré par les océans Arctique, Atlantique et Pacifique et renfermant les Grands Lacs, le Canada constitue un des principaux pays maritimes de la planète. Il occupe le premier rang au monde pour :

PROTÉGEONS NOTRE FAUNE

L'ARCTIC NATIONAL WILDLIFE REFUGE (ANWR) EN ALASKA

L'ANWR, qui possède un des écosystèmes complets les plus importants demeurant sur la planète, est très sensible à toute exploitation. Il y existe une gamme d'habitats arctiques et sub-arctiques ainsi qu'une grande variété de plantes et d'animaux. On y trouve de nombreus esespèces d'oiseaux, des mouflons de Dall, des bœufs musqués, des loups, des ours polaires et des grizzlys. Le cœur biologique de l'ANWR consiste en une étroite plaine côtière de 1,5 million d'acres appelée « Terres 1002 », qui s'étend depuis le contrefort de la chaîne de Brooks à environ 15 ou 20 miles du littoral de l'Arctique.

LOI SUR LES ESPÈCES EN PÉRIL (LEP)

La Loi sur les espèces en péril vise à éviter au Canada l'extinction d'espèces en raison d'activités humaines. La perte d'espèces nous touche tous et peut avoir des conséquences imprévues relativement à nos écosystèmes. Au Canada, comme ailleurs dans le monde, des espèces deviennent en voie de disparition à un rythme alarmant. Actuellement, au Canada, 340 espèces sont désignées comme étant en péril. Dans un pays aussi vaste et diversifié, aucun gouvernement ne peut protéger toutes les espèces et leurs habitats en agissant seul. La protection des espèces estune responsabilité partagée entre les gouvernements et avec toute la population canadienne.Depuis 1996, les gouvernements fédéral, provinciaux et territoriaux appliquent activement l'Accord pour la protection des espèces en péril au Canada.

OISEAUX MIGRATEURS

La conservation des oiseaux migrateurs est une responsabilité partagée par les pays qu'ils visitent au cours de leurs saisons de couvaison et de migration ainsi qu'en dehors de celles-ci. La reconnaissance de ce principe a permis l'élaboration d'ententes internationales, comme la Convention concernant les oiseaux migrateurs signée en 1916 par le Canada et les États-Unis et l'établissement de programmes, comme le Programme Amérique latine du Service canadien de la faune, qui sont créés pour établir des liens entre les pays qui se partagent ces populations d'oiseaux. Des programmes conjoints ont également été établis pour promouvoir la conservation des oiseaux migrateurs et de leurs habitats, par exemple le Plan nord-américain de gestion de la sauvagine, le Réseau des réserves pour les oiseaux de rivage de l'hémisphère occidental, l'Initiative de conservation des oiseaux de l'Amérique du Nord, Partenaires d'envol-- États-Unis (le Programme de conservation des oiseaux migrateurs néotropicaux) et Partenaires d'envol--Canada (le Programme canadien de conservation des oiseaux terrestres).

DES PHOQUES

De toutes les espèces de phoques du Canada atlantique, le phoque du Groenland (Pagophilus groenlandica) de l'Atlantique nord-ouest est l'espèce la plus abondante et la plus récoltée.

Bien que le phoque du Groenland soit chassé à des fins commerciales depuis le XVIe siècle, la chasse commerciale du phoque sur la côte atlantique telle que nous la connaissons aujourd'hui a pris forme à la fin des années 1980, après l'effondrement de la chasse du blanchon à bord de gros bateaux de pêche.

Six espèces de phoques évoluent au large de la côte atlantique du Canada : le phoque du Groenland, le phoque à capuchon, le phoque gris, le phoque annelé, le phoque barbu et le phoque commun, bien que le phoque annelé et le phoque barbu soient typiquement des espèces arctiques. Des six espèces, ce sont le phoque du Groenland et le phoque à capuchon qui alimentent la quasi-totalité de la chasse commerciale. Un certain nombre de phoques gris est aussi capturé à des fins commerciales en vertu de permis délivrés à cette fin.

La conférence des Nations Unies sur les changements climatiques
Allocutions du Premier ministre à la Conférence
Montréal 2005 : Conférence des Nations Unies sur les changements climatiques
Arctic Refuge
Déclaration du Premier ministre au sujet de la réserve faunique nationale de l'Arctique
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Dernière mise à jour :
2006-06-26
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