--- Signature d'Environnement Canada Logo du gouvernement canadien
---
spacer.gif English Contactez-nous Aide Recherche Site du Canada
Quoi de neuf
À notre sujet
Thèmes Publications Météo Accueil
---
topline.gif
  Indicateurs environnementaux
menu_line.gif
  Butler en vol
menu_line.gif
  Rapports de science des écosystèmes
menu_line.gif
  Mises à jour du CDROM
menu_line.gif
  Écozones C.-B.
et Yukon
menu_line.gif
  Réseau de surveillance et d'évaluation écologiques
menu_line.gif
  Accueil Écoinfo
menu_line.gif
quoi de neuf
 
spacer.gif spacer.gif
 

CD-ROM État de l'environnement pour la Colombie-Britannique

MISES À JOUR

soebc1.jpg, 14KBChaque année, nous en savons un peu plus sur l'environnement de la Colombie-Britannique. Les informations contenues dans le CD-ROM original sur l'état de l'environnement doivent donc être mises à jour régulièrement. Les pages qui suivent présentent des données actualisées concernant un certain nombre d'enjeux abordés dans le CD. Les liens cités permettent d'autre part à l'utilisateur de se tenir au courant de la diffusion de nouvelles données.

Restant fidèles à l'organisation thématique du CD, les mises à jour sont faites par sujets et par écoprovinces, comme indiqué dans l'index ci-dessous.

blueline.gif

INDEX

Sujets
Les Gens
Les Terres
Les plantes et les animaux
Les eaux
L'air
ÉCOPROVINCES
Dépression de Georgia
Littoral et montagnes
Sud de l'intérieur
Centre de l'intérieur
Montagnes du sud de l'intérieur
Intérieur subboréal
Écoprovinces du nord

blueline.gif

LES GENS

ACCROISSEMENT DE LA POPULATION

Au 1er juillet 2000, la population estimée de la Colombie-Britannique se chiffrait à 4 063 760 personnes, soit une augmentation annuelle de 0,9 %, à comparer à l'augmentation de 1,0 % observée entre 1997 et 1998. Ce taux moindre est dû à un accroissement du flux net de personnes qui partent vers d'autres provinces. D'autre part, alors qu'on assistait à une forte immigration vers la province à partir des autres provinces au début des années 1990, la Colombie-Britannique voit pour la troisième fois sa population émigrer (globalement) depuis 1985-1886 (le premier bilan migratoire négatif a été observé en 1998). Un ralentissement de l'accroissement démographique est aussi observé au niveau national pour la troisième année consécutive, avec un taux d'accroissement légèrement inférieur à 1 %. Toutes les provinces et tous les territoires, à l'exception de Terre-Neuve, de la Saskatchewan et du Yukon, ont vu leur population augmenter entre 1999 et 2000.

[Source : Statistique Canada, 2000. Statistiques quotidiennes à : http://www.statcan.ca/francais/dai-quo/ ]

DISTRIBUTION DE LA POPULATION

Pourcentage des gens vivant dans des zones urbaines (Carte du CD-ROM mise à jour)

urbanmap.gif, 15KB

Écoprovince

% urbains (1991)

% urbains (1996)

Écoprovince

61

58

Montagnes boréales du Nord

0

0

Plaines de la taïga

77

75

Centre de l'intérieur

38

41

Littoral et montagnes

77

62

Montagnes du sud de l'intérieur

56

56

Intérieur subboréal

67

73

Sud de l'intérieur

63

66

Dépression de Georgia

88

90

Total

80

82

Nota : La méthodologie utilisée pour la construction des limites des écoprovinces en fonction des données des districts régionaux peut avoir changé depuis 1991. Les pourcentages indiqués doivent donc être considérés comme des approximations. Lorsqu'une subdivision de recensement (municipalité) chevauche une limite d'écoprovince, la subdivision est attribuée à l'écoprovince contenant la plus grande partie de la subdivision. Source : Statistique Canada, 1997. Aperçu national : Dénombrement de la population et des logements : Recensement de 1996

D'après les statistiques de 1996, près de 3,7 millions de Britanno-Colombiens (82 %) vivent dans des zones urbaines. La distribution des citadins entre les écoprovinces n'a pas changé de manière substantielle entre 1991 et 1996. Les changements les plus importants ont eu lieu dans l'écoprovince du littoral et des montagnes où la portion de citadins est passée de 77 % à 62 %, et dans l'écoprovince du centre de l'intérieur, où ce taux est passé de 67 % à 73 %. On trouve aujourd'hui 90 % de citadins dans la dépression de Georgia, tandis que l'écoprovince des montagnes boréales du Nord continue à être 100 % rurale.

[Source : Statistique Canada 1996. Aperçu national : Dénombrement de la population et des logements : Recensement de 1996.]

GÉNÉRATION DE DÉCHETS

En 1996, les Britanno-Colombiens ont produit 930 kg de déchets solides par personne. Seulement 350 kg de ces déchets ont été recyclés; le restant ayant été ajouté aux décharges publiques ou brûlé dans les incinérateurs. Il s'agit là d'une amélioration par rapport à 1991 (plus de 1000 kg de déchets solides par personne) mais d'une augmentation de 16 % par rapport aux chiffres de 1994.

Au total, 81 % des déchets générés en Colombie-Britannique proviennent de la dépression de Georgia. Le sud de l'intérieur génère quant à lui 8 % des déchets provinciaux.

QUELLES SONT LES MESURES PRISES?

La Colombie-Britannique s'est fixée pour objectif de réduire à 430 kg par personne et par année, avant la fin de 2000, la masse de déchets solides envoyés aux décharges publiques et aux incinérateurs. Plusieurs plans régionaux de gestion des déchets, prévoyant entre autres des programmes de recyclage et l'instauration de redevances de déversement dans les décharges, font partie des efforts mis en oeuvre pour atteindre cet objectif.

Pour prendre connaissance des mises à jour supplémentaires, consultez l'indicateur sur les déchets solides du ministère de la Protection des Eaux, des Terres et de l'Air de la Colombie-Britannique.

RECYCLAGE

recycle_f.gif, 7KB

UTILISATION DES SERVICES DE RECYCLAGE EN BORDURE DES RUES

Entre 1991 et 1994, le nombre de foyers qui avaient accès à un service de recyclage dans la rue en Colombie-Britannique a augmenté d'approximativement 27 %. La Colombie-Britannique se classe toujours parmi les cinq premières provinces du Canada où des programmes de recyclage sont mis en oeuvre et utilisés. Bien que la plus grande partie (62%) des déchets municipaux soit toujours dirigée vers les décharges publiques, 38 % ont été recyclés en 1996. Il s'agit là d'une augmentation de 18 % depuis 1990 pour ce qui est de la quantité de déchets solides recyclés.

[Source : Statistique Canada. 1995. Les ménages et l'environnement; ministère de l'Environnement, des Terres et des Parcs. 1996. Municipal Solid Waste Reduction Data Summary Report 1995; Indicateur environnemental sur les déchets solides du ministère de la Protection des Eaux, des Terres et de l'Air de la Colombie-Britannique.]

CONSOMMATION D'ÉNERGIE

Consommation d'électricité par secteur

nrgsector_f.gif, 3KB

Entre 1995 et 1996, le secteur résidentiel et le secteur commercial ont consommé chacun environ un tiers de l'électricité utilisée en Colombie-Britannique. Ces chiffres reflètent une augmentation graduelle de la part d'électricité consommée par ces deux secteurs par rapport à celle utilisée par l'industrie. Entre 1991 et 1992, l'industrie a en effet consommé 43 % du total tandis que le secteur résidentiel et le secteur commercial n'en ont utilisé respectivement que 29 % et 26 %.

De quelle quantité d'énergie avons-nous besoin?

energy.jpg (4K)

Aucune donnée à jour concernant la consommation d'énergie par le secteur industriel n'était disponible au moment de la rédaction de ce rapport. La tendance illustrée sur ce graphique provient de nouvelles données basées seulement sur les ventes domestiques annuelles d'électricité. La consommation d'électricité par habitant a augmenté régulièrement en Colombie-Britannique jusqu'en 1991 puis s'est mise à diminuer. Ce déclin continue à ce jour.

Cette diminution de la consommation est due à plusieurs facteurs. Au cours des dix dernières années, un temps plus doux que la normale a entraîné un déclin significatif de la consommation d'électricité dans la province. Près de 20 % des ventes d'électricité négociées par BC Hydro l'ont été avec les usines de pâte à papier. Cela équivaut à plus de la moitié de la consommation du secteur résidentiel. La fermeture ou l'extension d'une seule usine de pâte à papier peut donc facilement masquer les retombées d'un changement dans la consommation résidentielle. Si l'on prend en compte la météo clémente, la consommation résidentielle d'électricité, qui ne faisait qu'augmenter dans le passé, s'est stabilisée au cours des 10 dernières années. La consommation d'électricité par le secteur commercial a augmenté de manière régulière, principalement à cause d'une utilisation accrue d'équipements électroniques et informatiques. L'augmentation de la population a entraîné une augmentation du nombre d'activités commerciales. Au cours des 5 dernières années, la consommation d'électricité par le secteur industriel, qui reste le plus grand consommateur en termes de ventes, a augmenté moins vite que la population.

Nota : Cette tendance ne reflète que les ventes domestiques d'électricité moyennées pour les données démographiques annuelles de la Colombie-Britannique et doit être considérée comme approximative.

[Source: BC Hydro, 1998.]

Pour prendre connaissance des mises à jour supplémentaires, consultez l'indicateur sur l'économie verte du ministère de la Protection des Eaux, des Terres et de l'Air de la Colombie-Britannique.

Index

blueline.gif

LES TERRES

SECTEURS PROTÉGÉS

Secteurs protégés

En septembre 1998, la superficie protégée totale dans la province représentait 10,61 % du total, soit 10,06 millions d'hectares. Depuis 1991, le nombre de secteurs protégés a augmenté dans toutes les écoprovinces. C'est dans les écoprovinces des montagnes boréales du Nord, de l'intérieur subboréal et des plaines de taïga que le plus grand nombre de secteurs protégés ont été créés. Entre novembre 1991 et janvier 1998, plus de 285 nouveaux secteurs protégés et extensions de parc, représentant un total de plus de 4,3 millions d'hectares, ont été créés en Colombie-Britannique.

Pourcentage de la superficie protégée pour chaque écoprovince

Écoprovince Année (% protégé)
1991

1996

1998

Plaines boréales

0,03 %

0,03%

0,32%

Centre de l'intérieur 7,99%

12,87%

13,60%

Littoral et montagnes 5,91%

10,09%

10,70%

Littoral du Pacifique et montagnes

2,10%

N/A

12,37%

Dépression de Georgia

9,08%

9,15%

9,68%

Bassin de Georgia et de Puget (Maritime)

3,07%

N/A

4,69%

Montagnes boréales du Nord

9,28%

13,24%

17,81%

Sud de l'intérieur

2,48%

6,26%

6,52%

Montagnes du sud de l'intérieur

11,27%

15,98%

16,10%

Intérieur subboréal

1,29%

1,30%

2,21%

Plaines de taïga

0,02%

0,02%

2,25%

Total

6,06%

9,16%

10,61%

Source : Bureau de la coordination de l'aménagement du territoire de la Colombie-Britannique, 1998.

Pour prendre connaissance des mises à jour supplémentaires concernant le statut des secteurs protégés en Colombie-Britannique, consultez l'indicateur sur les secteurs protégés du ministère de la Protection des eaux, des Terres et de l'Air de la Colombie-Britannique.

Index

blueline.gif

PLANTES ET ANIMAUX

ESPÈCES MENACÉES ET EN DANGER

On compte actuellement 234 plantes et 68 animaux vertébrés, dont 10 mammifères, 24 oiseaux et 27 poissons, menacés ou en danger en Colombie-Britannique. Un total de 451 plantes et animaux sont par ailleurs considérés comme « vulnérables ». Comme c'est le cas pour les espèces classées « menacées » ou « en danger », un risque pèse également sur ces populations. Les écoprovinces qui abritent le plus grand nombre d'espèces en péril (menacées, en danger ou vulnérables) sont le sud de l'intérieur (410) et la dépression de Georgia (334).

Pour prendre connaissance des mises à jour supplémentaires concernant les espèces menacées et les espèces en danger, consultez l'indicateur environnemental sur les espèces en péril sur la page d'accueil des rapports sur l'état de l'environnement du ministère de l'Environnement, des Terres et des Parcs de la Colombie-Britannique

[Source : ministère de l'Environnement, des Terres et des Parcs de la Colombie-Britannique, Bureau des rapports sur l'état de l'environnement, 1996]

POPULATIONS DES LOUTRES DE MER

seaotter_f.gif, 4KB

Ce graphique met en évidence une augmentation annuelle de 19 % de l'effectif des loutres de mer, d'après les recensements réalisés entre 1984 et 1995. Les populations de loutres de mer le long du littoral de la Colombie-Britannique continuent à augmenter à un taux relativement constant de 18 à 20 % par an. Bien que les loutres de mer soient toujours considérées comme étant en danger en vertu du Wildlife Act de la Colombie-Britannique, cette augmentation constante est un signe de rétablissement prometteur. Les données officielles pour 1996 ne sont pas encore disponibles mais on estime que près de 1 600 loutres de mer fréquentent actuellement la côte ouest de l'île de Vancouver tandis qu'une population de 250 spécimens est concentrée sur la côte centrale.

STOCKS DE SAUMONS

salmon_f.gif, 5KB

Ce graphique présente des données récentes compilées en 1996. Il montre le statut des stocks de saumons et de truites anadromes (genre Oncorhynchus) en Colombie-Britannique. Les chiffres concernant les stocks du Yukon n'ont pas été utilisés pour l'analyse. Les stocks évalués concernent les saumons quinnats, les saumons kétas, les saumons cohos, les saumons roses, les saumons rouges, les saumons arc-en-ciel et les truites fardées anadromes. Il a été possible de classer en fonction du risque 5 476 stocks, dont les plus importants stocks commerciaux, parmi les 9 584 évalués. Le risque pesant sur approximativement 43 % des stocks identifiables a été déclaré comme étant inconnu parce que la quantité ou la qualité des données ne satisfaisait pas aux critères utilisés pour l'inclusion dans une catégorie de risque connue. La majorité des stocks dans la catégorie des risques inconnus ne comptaient que des effectifs faibles. Bien que leur valeur commerciale ne soit pas prépondérante, ces stocks sont néanmoins considérés importants pour la conservation de la biodiversité des salmonidés.

Parmi les stocks pour lesquels le risque a été déterminé, les risques étaient élevés pour 624, modérés pour 78 et préoccupants pour 230 tandis qu'on dénombrait 142 stocks disparus en Colombie-Britannique au cours du dernier siècle. On a néanmoins estimé que la majorité des stocks classifiables (4 402, soit 46 % de tous les stocks) n'étaient pas menacés.

Un stock disparu est défini comme étant un stock qui a persisté dans un endroit donné pendant plusieurs décennies mais pour lequel aucune remonte n'a été observée depuis plus de dix ans. Le risque de disparition est élevé pour les grands stocks lorsque ces derniers déclinent ou que l'effectif de leur échappée est inférieur à 200 poissons. Pour les petits stocks, le risque de disparition est dit élevé lorsque lorsque la population moyenne sur la décennie en cours est inférieure à 20 % de la moyenne à long terme et qu'elle est inférieure à 200 poissons. Le risque de disparition est dit modéré lorsque le stock a subi un sérieux déclin mais n'est pas menacé de façon immédiate. Le risque est dit préoccupant 1) lorsque le stock pourrait être menacé par des perturbations relativement mineures, 2) lorsque l'on n'a pas suffisamment de données concernant l'évolution de l'effectif mais que les renseignements disponibles suggèrent un déclin, 3) lorsque les poissons concernés peuvent se croiser avec des poissons exotiques introduits et 4) lorsque le stock n'est pas présentement en danger mais que des caractéristiques uniques justifient une attention particulière.

Parmi les menaces pouvant peser sur les stocks de saumons et de truites, on peut citer la destruction des habitats entraînée par des activités humaines telles que la foresterie, l'urbanisation, la construction de barrage ou de digues, la mise en place de remblais, les exploitations minières, les exploitations agricoles, les constructions routières ou ferroviaires, le rejet d'effluents, les lâchés de poissons provenant d'écloseries, l'aquaculture et l'exploitation exessive de la ressource par la pêche. Dans la plupart des cas, les risques de disparition des stocks résultent de la combinaison de plusieurs de ces facteurs mais une grande partie des disparitions sont survenues à la suite de projets de développement urbain ou hydroélectrique.

C'est le long de la côte centrale qu'on a dénombré le plus grand nombre (153) de stocks pour lesquels le risque de disparition est élevé, tandis que le sud de l'île de Vancouver abrite la plus grande proportion de stocks présentant un tel risque (17 %). On a également remarqué une forte proportion (>14 %) de stocks pour lesquels le risque de disparition est élevé dans le détroit de Johnstone et le détroit de Georgia, du côté de l'île de Vancouver.

[Sources: Slaney, T.L., K.D. Hyatt, T.G. Northcote et R.J. Fielden. 1996. Status of Anadromous Salmon and Trout in British Columbia and Yukon. Fisheries, 21(10): 20-35.]

Pour prendre connaissance des mises à jour supplémentaires, consultez l'indicateur sur les poissons du ministère de la Protection des Eaux, des Terres et de l'Air de la Colombie-Britannique.

SAUMONS ARC-EN-CIEL

Saumons arc-en-ciel dans les rivières Gold et Heber Rivers, île de Vancouver

steelhead_f.gif, 6KB

Les relevés en nage au tuba visant à dénombrer les saumons arc-en-ciel d'été dans les rivières Gold et Heber de l'île de Vancouver ont indiqué que le nombre de poissons qui retournent dans ces rivières au cours de l'été et de l'automne est resté relativement stable depuis 1986. On considère que les deux rivières possèdent des populations saines de saumons arc-en-ciel. L'effectif de la remonte dans la rivière Heber moyenné entre 1992 et 1998 est de 270 poissons, à comparer à la moyenne de 400 poissons observée entre 1980 et 1985 et de 140 poissons entre 1975 et 1979. La remonte dans la rivière Gold a été légèrement inférieure à celle escomptée en 1998, probablement à cause des conditions printanières et estivales plus sèches que la normale qui ont contribué au piégeage des poissons dans le canyon, en aval du secteur de dénombrement. Une augmentation du taux de survie en océan semble être le principal facteur responsable des effectifs de remonte élevés pour les saumons arc-en-ciel dans ces deux rivières. La survie des saumons arc-en-ciel en mer dépend de variables telles que l'intensité de la pression halieutique commerciale, la disponibilité de la nourriture, la remontée éventuelle d'eau froide et les facteurs climatiques tel qu'El Nino.

[Source : ministère de l'Environnement, des Terres et des Parcs de la Colombie-Britannique, direction des pêches, 1998.]

CONTAMINATION DES MOLUSQUES ET DES CRUSTACÉS


Fermetures sanitaires des eaux coquillières

graph_shellfish_f.gif, 16KB

Source : Direction de la protection environnementale, Environnement Canada, région du Pacifique et du Yukon, 2000.

L'étendue des fermetures sanitaires des eaux coquillières augmente régulièrement depuis les années 1970. Jusqu'en janvier 2000, approximativement 105 000 hectares (1 050 km2) d'habitats côtiers en Colombie-Britannique ont été fermés pour la récolte des mollusques et des coquillages. Il s'agit là de près du double de la superficie touchée par les fermetures décrétées avant 1976. Cette récente augmentation résulte peut-être partiellement d'une surveillance accrue des eaux coquillières, en particulier, des nouveaux secteurs situés sur la côte nord de la province.

La majorité des contaminations des eaux coquillières proviennent de sources connues telles que les écoulements urbains, les rejets d'eaux usées et le drainage agricole.

Pour prendre connaissance des mises à jour supplémentaires concernant les fermetures des eaux coquillières, consultez le site Web d'Environnement Canada sur les indicateurs régionaux.

Index

blueline.gif

EAUX

QUALITÉ DE L'EAU

waterquality_f.gif, 5KB

En 1993, 90 % des échantillons d'eau satisfaisaient aux normes en vigueur pour la qualité de l'eau. Depuis, la qualité de l'eau a été évaluée dans 124 endroits répartis dans la province, incluant des lacs, des ruisseaux, des secteurs marins et des nappes phréatiques. Chaque endroit est classé en fonction d'un indice défini en fonction de certains objectifs en matière de qualité de l'eau, indice qui permet d'attribuer la cote excellente, bonne, passable, médiocre ou mauvaise. En 1995, 50 % des endroits testés avaient une eau de qualité passable et 35 % avaient une eau de bonne qualité. Plus de 90 % des endroits avaient une eau dont la qualité variait d'excellente à passable.

Pour une mise à jour concernant le graphique sur les sources de rejet d'eaux usées dans l'estuaire du Fraser, consultez la section consacrée à l'écoprovince de la dépression de Georgia ci-dessous.

TRAITEMENT DES EAUX USÉES

Pour une mise à jour concernant le graphique sur les sources de rejet d'eaux usées dans l'estuaire du Fraser, consultez la section consacrée à l'écoprovince de la dépression de Georgia ci-dessous.

EAU POTABLE CONTAMINÉE

Avis recommandant de faire bouillir l'eau en Colombie-Britannique

boilwater_f.gif, 4KB

Depuis 1995, le nombre d'avis recommandant de faire bouillir l'eau, diffusés par le ministère de la Santé de la Colombie-Britannique, est resté relativement constant, si ce n'est une diminution de 6 % en 1997. Cette stabilisation résulte en grande partie du fait que la majorité des zones à problèmes ont maintenant été identifiées grâce à des efforts de surveillance à l'échelle de la province. On s'attend à ce que le nombre d'avis émis continue à décliner au fur et à mesure que les problèmes liés à la qualité de l'eau, une fois identifiés, sont surmontés par l'application de la loi et la sensibilisation des personnes concernées. De nombreux secteurs ne figurent déjà plus sur la liste des endroits visés par les avis recommandant de faire bouillir l'eau grâce à la mise en oeuvre de traitements améliorés permettant de rejeter une eau plus propre.

[Source : ministère de la Santé. Direction de la protection de la santé publique, 1998.] Pour prendre connaissance des mises à jour, consultez le site Web du ministère des Services de la Santé de la Colombie-Britannique.

CONTAMINANTS DANS LES ÉCOSYSTÈMES

graphpcbs_f.gif, 12KB

Les oiseaux de mer sont de bons indicateurs de la présence de contaminants dans l'environnement marin. La teneur en PCB des oeufs des cormorans à aigrettes de l'île Mandarte, sur la côte est de l'île de Vancouver, diminue depuis 1992. Cependant, les niveaux sont toujours bien au-dessus de zéro. Des contrôles stricts concernant l'utilisation des PCB ont été imposés au début des années 1970 et leur fabrication a été interdite. La persistance de la contamination de certaines populations d'oiseaux de mer par les PCB laisse penser que de grandes quantités de PCB sont encore présentes dans l'environnement.

Pour prendre connaissance des mises à jour supplémentaires concernant cet indicateur, consultez le site Web d'Environnement Canada sur les indicateurs régionaux.

CONTAMINATION DES MOLUSQUES ET DES CRUSTACÉS PAR LA DIOXINE

graph_diox_f.gif, 9KB

Source : W. Knapp, ministère des Pêches et des Océans, Vancouver, 1998. Les fermetures touchent les sites de huit usines de pâte à papier le long du littoral.

Depuis 1988, la contamination en dioxine et en furane provenant des effluents rejetés par les usines de pâte à papier a rendu nécessaire la fermeture des eaux coquillières de plusieurs secteurs de la Colombie-Britannique. Cependant, la mise en place de règlements concernant les effluents des usines de pâte à papier et les initiatives de réduction de la pollution ont contribué à faire décliner la contamination en dioxine de crustacés tels que le crabe et a permis la réouverture de certaines zones de récolte. Depuis février 1995, plus de 550 km2, soit 46 % de la superficie maximale jamais fermée à la récolte des crustacés et des mollusques ont été réouverts à la récolte.

Pour obtenir de plus amples informations sur la dioxine et les furanes, veuillez consulter le site Web d'Environnement Canada sur les indicateurs régionaux.

NIVEAU DE DIOXINE DANS LES OEUFS DES OISEAUX MARINS

dioxin_f.gif, 4KB

La teneur élevée en dioxine mesurée sous la forme 2,3,7,8-TCDD dans les oeufs des grands hérons du Pacifique et des cormorans à aigrettes recueillis dans une colonie située près de l'usine de pâte kraft blanchie de Crofton, pendant les années 1980, est une conséquence de l'intensité de la production et des émissions de l'usine. Au cours du début des années 1990, les niveaux ont décliné après la mise en oeuvre de changements dans le processus du blanchiment et l'établissement de règlements gouvernementaux restreignant la quantité autorisée de contaminants chlorés dans les effluents rejetés par les usines. Ce déclin continu montre que les efforts de l'industrie et du gouvernement contribuent à réduire le déversement des contaminants chlorés dans l'environnement marin et que la TCDD est rapidement éliminée de la chaîne alimentaire du héron et du cormoran. Les concentrations actuelles en 2,3,7,8-TCDD sont inférieures aux seuils présentant des effets toxiques.

[Source : Service canadien de la faune, 1998.]

Pour de plus amples renseignements sur les contaminants toxiques chez les oiseaux marins, veuillez consulter les indicateurs régionaux d'Environnement Canada sur les toxines dans les oeufs des grands hérons du Pacifique et sur les PCB dans les oeufs de cormoran.

CONCENTRATION EN MÉTAUX

Mercury in Crabs

crab_f.gif, 12KB

Le niveau de mercure mesuré dans des crabes capturés près d'une usine désaffectée de chlore et de soude caustique, qui utilisait des cuves au mercure dans la baie d'Howe Sound, est resté relativement constant depuis 1991. Les niveaux sont restés bien au-dessous des seuils édictés par Santé et Bien-être social Canada. Des échantillonnages supplémentaires sont présentement effectués dans les environnements marins et terrestres voisins pour mesurer le niveau de mercure dans le sol et dans diverses espèces d'animaux et de plantes.

[Source : D.G. Regan and Associates Ltd. 1998. Canadianoxyl Industrial Chemicals Limited Partnership Squamish BC Chlor-Alkali Plant: 1997 survey. A report prepared for the CanadianOxy Industrial Chemicals Limited Partnership Squamish BC Chlor-Alkali Plant, Squamish BC, File No. 2691.]

Concentration en métaux du lac Buttle

Pour consulter une mise à jour concernant l'évolution des concentrations de divers métaux dans le lac Buttle, reportez-vous à la section sur l'écoprovince du littoral et des montagnes ci-dessous.

Index

blueline.gif

AIR

CHANGEMENT CLIMATIQUE GLOBAL

Globalement, neuf des dix années les plus chaudes jamais enregistrées sont postérieures à 1990. L'année la plus chaude jamais enregistrée est 1998 et l'année 2001 est la seconde plus chaude depuis les enregistrements au niveau global remontent de 1861 (Environnement Canada, Communiqué, décembre 2001).

Pour ce qui est du statut et de l'évolution de l'impact de la Colombie-Britannique sur le climat dû aux émissions de gaz à effet de serre, voir les indicateurs sur les gaz à effet de serre et les changements climatiques du ministère de la Protection des Eaux, des Terres et de l'Air.

APPAUVRISSEMENT DE LA COUCHE D'OZONE

Pour prendre connaissance de l'évolution actuelle de la couche d'ozone stratosphérique au-dessus de la Colombie-Britannique, consultez le site Web des indicateurs environnementaux d'Environnement Canada.

QUALITÉ DE L'AIR

Pour l'évolution des risques sanitaires potentiels associés aux particules en suspension, consultez l'indicateur du smog d'Environnement Canada pour la vallée du Fraser. Pour le statut et l'évolution des particules en suspension dans l'air ambiant de la Colombie-Britannique, consultez l'indicateur du ministère de la Protection des Eaux, des Terres et de l'Air de la Colombie-Britannique sur la qualité de l'air.

Index

blueline.gif

Dépression de Georgia

ESTURAIRE DU FRASER

Déversements d'eaux usées dans l'estuaire du Fraser

watewater_f.gif, 8KB

Ce diagramme à secteurs présente les différents types d'installations responsables de déversements d'eaux usées dans l'estuaire du Fraser entre 1990 et 1992. Si l'on compare ces données à celles compilées en 1987, on constate que les déversements totaux d'eaux usées dans l'estuaire ont augmenté de presque 20 % depuis cette date. Cette augmentation est principalement due aux rejets effectués par les stations d'épuration (3 %) et aux écoulements urbains (8 %).

Le problème posé par les eaux usées ne réside pas dans le volume déversé dans l'estuaire mais dans la présence de contaminants dans les effluents rejetés. Les écoulements pluviaux urbains constituent le problème de pollution le plus important auquel doivent faire face les gestionnaires de la région, après la modernisation des systèmes de traitement dans les stations d'épuration municipales. Les principaux polluants présents dans les écoulements pluviaux urbains peuvent être attribués aux transports, notamment à la corrosion et à l'usure des véhicules, aux émissions atmosphériques et aux fuites de toutes sortes. Les écoulements pluviaux urbains représentent l'une des principales sources de particules en suspension et de contaminants connexes (hydrocarbures et métaux à l'état de trace) dans l'estuaire. Les écoulements d'origine agricole polluent les eaux de surface et les eaux souterraines en y apportant des pesticides et des éléments nutritifs tels que l'azote, le phosphore et l'ammoniaque. Ce sont les stations d'épuration Annacis et Lulu qui déversent dans le bras principal du Fraser la plus grande quantité de polluants entraînant une demande biochimique en oxygène, de colibacilles fécaux, d'ammoniaque, de cuivre, d'huiles et de graisses.

La qualité de l'eau dans l'estuaire du Fraser peut également être affectée par des polluants provenant de sources extérieures à la région. Les sources de polluants en amont de l'estuaire comprennent six usines de pâte à papier réparties entre Prince George, Quesnel et Kamloops, les stations d'épuration des municipalités de la vallée du bas Fraser et les écoulements provenant des exploitations agricoles intensives dans la vallée.

[Source : Fraser River Estuary Management Program. 1996. The Fraser River Estuary: Environmental Quality Report. FREMP: Chapitre 5.]

OZONE TROPOSPHÉRIQUE

Évolution des niveaux d'ozone troposphérique dans le district régional de Vancouver

ozone_f.gif, 9KB

Ce graphique, produit par le district régional de Vancouver en 1998, représente l'évolution de la concentration de l'ozone troposphérique dans l'air ambiant sur une période de 10 ans. Les données ont été recueillies entre 1987 et 1996 dans six stations situées à l'intérieur du district. Deux séries de données ont été utilisées pour surveiller l'évolution de la concentration de l'ozone. La moyenne régionale est la moyenne de toutes les concentrations d'ozone mesurées dans les six stations. La moyenne supérieure est calculée de la manière suivante : la concentration horaire moyenne maximum d'ozone est enregistrée quotidiennement à chacune des six stations. La plus grande des valeurs parmi les six stations est retenue et la moyenne supérieure est calculée en moyennant ces valeurs sur une période donnée.

Entre 1987 et 1996, la qualité de l'air pour ce qui est de la teneur en ozone s'est généralement améliorée, avec une diminution des extrema de concentrations et un nombre bien moindre d'heures pour lesquelles la concentration dépassait la teneur maximale souhaitable (la teneur visée à long terme par les objectifs concernant la qualité de l'air). La teneur moyenne en ozone a néanmoins augmenté légèrement, en particulier au cours des quatre dernières années. La moyenne régionale a augmenté de 13 %, passant de 11,1 10-9 en 1987 à 12,5 10-9 en 1996. Cette augmentation a principalement pris place au cours des quatre dernières années. Les plus hauts niveaux d'ozone ont diminué de 8 %, en moyenne, la moyenne supérieure passant de 36,7 10-9 en 1987 à 33,9 10-9 en 1996. Cette diminution caractérise principalement la période allant de 1987 à 1993. Entre 1993 et 1996, les maxima d'ozone ont légèrement augmenté.

L'ozone troposphérique est formé lorsque les oxydes d'azote réagissent avec des composés organiques volatils (COV) en présence de lumière. Ces substances proviennent des émissions atmosphériques des véhicules, des autres sources utilisant la combustion de combustibles fossiles, des sources diffuses et des procédés industriels. La production d'ozone dépendant de l'intensité du rayonnement solaire et de la température, les concentrations maximales sont atteintes l'après-midi, au cours des journées ensoleillées d'été.

[Source : district régional de Vancouver. 1998. Trends in Ambient Air Quality in Greater Vancouver 1987 to 1996.]

Pour prendre connaissance de l'évolution des risques sanitaires potentiels liés à l'ozone troposphérique dans la vallée du Fraser, veuillez consulter l'indicateur sur le smog d'Environnement Canada.

Index

blueline.gif

Littoral et montagnes

CONCENTRATIONS EN MÉTAUX DANS LES EAUX DU LAC BUTTLE

Zinc dans les eaux du lac Buttle

zinc_f.gif, 5KB

La teneur en zinc, cuivre, cadmium et plomb dans les eaux du lac Buttle ont atteint un maximum entre 1980 et 1981; l'amélioration subséquente des systèmes de traitement et de collecte des eaux sur le site de la mine (Westmin) a permis d'abaisser de façon régulière la teneur en métaux de l'ensemble du système lacustre. L'augmentation de la concentration des métaux dans les eaux du lac s'est accompagnée d'une augmentation de la teneur en métaux dans les tissus musculaires et hépatiques des salmonidés, d'un niveau élevé de métallothionéine hépatique et d'un déclin de la diversité des espèces et de l'effectif du phytoplancton, du zooplancton et du périphyton.

Avec la diminution de la concentration des métaux, la métallothionéine hépatique, un indicateur de stress biologique chez les poissons, est revenue à un niveau correspondant à un stress biologique minimal. La concentration des métaux dans les tissus musculaires des truites arc-en-ciel est par ailleurs revenue à un niveau naturel. Dans les tissus hépatiques, la teneur en cadmium a diminué de façon significative et seule la teneur en cuivre reste élevée. Le bon état apparent des ressources halieutiques est illustré par l'augmentation spectaculaire du nombre de prises capturées par les pêcheurs. L'état du zooplancton et du phytoplancton s'est également amélioré de manière significative, plusieurs espèces sensibles étant redevenues proéminentes.

Bien que les teneurs en métaux des eaux du lac Buttle aient été réduites de façon importante, ces teneurs se sont néanmoins stabilisées. Les concentrations de zinc, de cuivre et de cadmium ont parfois dépassé les normes provinciales, en particulier dans les eaux profondes. Le ministère de l'Environnement, des Terres et des Parcs de la Colombie-Britannique et la mine continuent à surveiller la qualité de l'eau dans le secteur. La mine continue ses efforts visant à améliorer la qualité de ses effluents. Elle vient d'éliminer un ancien bassin contenant des résidus miniers près de la rivière Myra Creek et étudie actuellement comment améliorer le nouveau secteur d'accumulation des résidus.

[Source : ministère de l'Environnement, des Terres et des Parcs de la Colombie-Britannique, 1998.]

Index

blueline.gif

Sud de l'intérieur

Une mise à jour sera effectuée lorsque de nouvelles données seront disponibles.

Index

blueline.gif

Centre de l'intérieur

Une mise à jour sera effectuée lorsque de nouvelles données seront disponibles.

Index

blueline.gif

Montagnes du sud de l'intérieur

TENEURS EN PLOMB

Teneur en plomb du sang chez les habitants de Trail

bloodlead_f.gif, 4KB

En 1997, la teneur moyenne en plomb mesurée dans le sang des enfants âgés de 6 à 60 mois de Trail a diminué de 23 % par rapport à l'année précédente. Il est fort probable que cette diminution soit due à l'installation d'une nouvelle fonderie en mai 1997. La technologie de pointe mise en oeuvre dans cette fonderie devait réduire les émissions de plomb de 75 à 80 %. Une amélioration spectaculaire de la qualité de l'air ambiant était déjà observable au cours de l'été 1997.

Entre 1991 et 1996, la teneur en plomb du sang des enfants de Trail a diminué annuellement d'une moyenne de 0,6 ug/dL, tandis que la teneur en plomb dans le sang des Nord-Américains semble avoir atteint un plateau après 1991. Pour de plus amples renseignements sur la diminution de la teneur en plomb dans le sang des habitants de Trail entre 1991 et 1996, reportez-vous à l'édition de février des Perspectives sanitaires environnementales (Environmental Health Perspectives). L'URL qui suit est un lien direct donnant accès à l'article en question :

http://ehpnet1.niehs.nih.gov/docs/1998/106p79-83hilts/abstract.html

[Source: Trail Community Lead Task Force,1998]

KOKANI DU LAC KOOTENAY

Kootenay Lake Kokanee

kokanee_f.gif, 13KB

Kokani du lac Kootenay

phosphorus_f.gif, 6KB

En 1992, un programme expérimental a été lancé pour restaurer la productivité du lac Kootenay en fertilisant artificiellement le lac avec du phosphore et de l'azote. La population de kokanis dans le lac est revenue au niveau enregistré avant 1975, passant de près de 270 000 poissons en 1991 à 2 145 000 en 1998. Bien que la concentration en phosphore soluble ait légèrement augmenté, cette augmentation n'est pas aussi spectaculaire que celle de l'effectif des kokanis parce que l'élément nutritif est ajouté en faibles concentrations et est rapidement absorbé par le biota du lac. Les chercheurs biologistes réduisent maintenant progressivement la quantité de phosphore ajouté au lac chaque année, afin d'essayer de trouver un équilibre pour lequel l'effectif des kokanis peut être maintenu avec un appoint minimum de phosphore.

[Source : ministère de l'Environnement, des Terres et des Parcs, direction des pêches. 1998.]

Index

blueline.gif

Intérieur subboréal

Une mise à jour sera effectuée lorsque de nouvelles données seront disponibles.

Index

blueline.gif

Écoprovinces du Nord

Une mise à jour sera effectuée lorsque de nouvelles données seront disponibles.

Index

spacer.gif spacer.gif spacer.gif
spacer.gif



top

Essayez le sondage en ligne d'Éco info. Cliquez ICI pour commencer.

Version imprimée Envoyez cette page par courriel

| English | Contactez-nous | Aide | Recherche | Site du Canada