Vas-y, fais le pour toi!

Québec
Aller au contenu du portail

Souriez à l'hiver

Aller directement au contenu

Visitez la Zone Vasy


Fruits et légumes
vedettes de l’hiver »

La canneberge

Qui je suis...

Un incontournable du temps des fêtes, la canneberge accompagne depuis des générations la traditionnelle dinde du réveillon. Aussi appelée atoca (son nom amérindien) ou airelle, ce petit fruit d’un rouge vif gagne en popularité depuis quelques années. Cela est dû en partie à sa grande valeur nutritive. En effet, on attribue de plus en plus d’effets positifs à la consommation de canneberges, notamment la prévention des infections urinaires. De plus, grâce à sa forte teneur en antioxydants, la canneberge aiderait à prévenir les maladies cardiovasculaires et certains cancers. Elle est également une bonne source de vitamine C et contient du potassium.

Comment on m’apprête…

La canneberge se présente sous plusieurs formes. On peut bien sûr la retrouver dans la traditionnelle gelée ou sauce aux canneberges du temps des fêtes, mais on peut également se la procurer entière (fraîche ou congelée), séchée ou sous forme de jus. Dans le cas des jus, il est préférable de privilégier ceux qui sont peu ou pas sucrés. Attention aux cocktails de canneberges, qui contiennent souvent plus d’eau et de sucre que de vrai jus! Quant aux canneberges fraîches ou surgelées, elles peuvent bien sûr être utilisées dans la confection de muffins, de gâteaux et de croustades, mais elles peuvent également être servies avec les mets salés. Elles accompagnent à merveille les viandes, en particulier le gibier et les volailles. Elles ajoutent couleur et saveur aux sauces, salsas et purées de légumes. La canneberge séchée peut parfaitement remplacer les raisins secs dans n’importe quelle recette populaire qui en contient et se déguste très bien nature, son goût étant moins aigre et plus sucré que celui de la canneberge fraîche.

Recettes

Le navet et le rutabaga

Qui nous sommes...

Souvent confondus, le navet et le rutabaga sont pourtant deux légumes distincts. Le rutabaga est en fait un croisement entre le navet et le chou frisé. Pour les différencier, sachez que le rutabaga (aussi appelé chou de Siam) est en général plus gros que le navet et que la couleur de sa chair est jaune, alors que celle du navet est habituellement blanche. Quoi qu’il en soit, les deux appartiennent à la famille du chou, et comme les autres crucifères, ils aideraient tous deux à la prévention du cancer. Les feuilles de navet sont aussi extrêmement riches en lutéine et en zéaxanthine, deux composés qui jouent un rôle dans le maintien de la santé des yeux. Le rutabaga, quant à lui, est une excellente source de plusieurs minéraux, dont le phosphore, le magnésium, le fer et le potassium, ainsi que de vitamines B1, B6 et C. À quantités égales, le rutabaga est plus concentré en vitamines et en minéraux que le navet.

Comment on nous apprête…

Le navet et le rutabaga se consomment aussi bien crus que cuits. Par contre, le rutabaga est un peu plus long à cuire (environ 5 minutes de plus). Les deux sont interchangeables dans la plupart des recettes. On peut les râper pour une salade, les ajouter dans un pot-au-feu ou les mettre en purée, seuls ou mélangés à d’autres légumes-racines. Pourquoi ne pas essayer des frites de rutabaga au four pour faire changement? Les feuilles de navet, quant à elles, se cuisinent de la même façon que les épinards.

Recettes

Le poireau

Qui je suis...

Le poireau est connu depuis fort longtemps, mais il est moins couramment utilisé que ses cousins, l’oignon et l’ail. Bien qu’il soit le plus gros légume de sa famille, c’est celui qui possède la saveur la plus douce et la plus sucrée. Comme l’oignon et l’ail, le poireau possède des avantages nutritionnels très intéressants. En effet, il est riche en flavonoïdes, de puissants antioxydants qui aident à prévenir plusieurs cancers, ainsi qu’en fibres insolubles et solubles, qui jouent un rôle dans la régularité intestinale et dans le contrôle des taux de cholestérol et de glucose sanguin. Finalement, le poireau est une excellente source d’acide folique et une bonne source de potassium et de fer.

Comment on m’apprête…

Le poireau se consomme cru ou cuit, mais dans un cas comme dans l’autre, il faut d’abord bien le nettoyer pour éliminer le surplus de terre emprisonné entre ses feuilles. Pour ce faire, il suffit de le couper en deux sur la longueur en laissant quelques centimètres à la base, puis de le passer sous l’eau en écartant les feuilles. Par la suite, il ne reste qu’à le trancher ou le hacher pour pouvoir le cuisiner. Il peut remplacer les oignons dans les salades et dans plusieurs autres recettes. Il adore être jumelé à la pomme de terre dans la fameuse soupe vichyssoise ou encore en gratin. Il est très bon dans une omelette, ou sauté avec d’autres légumes. La partie blanche du poireau est plus souvent utilisée que sa partie verte, mais les deux parties sont délicieuses et ont des utilités distinctes, ce qui fait du poireau un légume doublement polyvalent! De plus, il se congèle très bien. Il suffit de le trancher et de le mettre dans des sacs pour congélation; on a ainsi toujours du poireau prêt à utiliser.

Recettes


Politique de confidentialité

Québec
© Gouvernement du Québec, 2005