Gouvernement du Canada
Éviter tous les menusÉviter le premier menu
English Contactez-nous Aide Recherche Site du Canada
Accueil Carte du site À notre sujet Sources de financement

Programme de recherche sur le financement des PME
Au sujet du PRF PME
Rapports aux comités parlementaires
Enquêtes et tableaux de données
Rapports de recherche
Principales statistiques sur le financement des petites entreprises
Profils des PME
Le Moniteur du capital de risque
  Troisième trimestre de 2006
  Quatrième trimestre de 2006
  Premier trimestre de 2007
Information concernant l'atelier sur le PRF PME
Sites Web connexes
Suggérez un lien
Créez un lien vers notre site
Contactez-nous

Programme de recherche sur le financement des PME Programme de recherche sur le financement des PME Le Moniteur du capital de risque Troisième trimestre de 2006

Troisième trimestre de 2006

Logo Le Moniteur du capital de risque

L’industrie canadienne du capital de risque est l’un des principaux acteurs contribuant à la croissance d’entreprises novatrices qui commercialisent les résultats de la recherche. C’est pourquoi la vigueur de cette industrie constitue un sujet d’importance constante. La présente série de bulletins a pour but de fournir de l’information sur cette importante industrie porteuse. À cette fin, elle fait état des tendances observées au chapitre de l’investissement, rend compte de la recherche sur des sujets touchant le capital de risque et examine les principales grappes technologiques où est investi le capital de risque.




INTRODUCTION

En plus de rendre compte des tendances observées au Canada en ce qui a trait au capital de risque durant le troisième trimestre de 20061, le présent numéro examine la syndication et son incidence sur les entreprises bénéficiant de ce type d’investissement. La section « Pleins feux » examine l’investissement en capital de risque dans la région d’Ottawa, où l’on a observé une baisse marquée du nombre de nouvelles entreprises bénéficiant de capital de risque par rapport au réinvestissement dans des entreprises ayant déjà bénéficié de ce type de financement.

APERÇU DES ACTIVITÉS EN MATIÈRE DE CAPITAL DE RISQUE

Investissement et mobilisation de fonds2

L’investissement en capital de risque a atteint 330 millions de dollars au cours du troisième trimestre de 2006, soit une hausse de 13 % par rapport à une valeur de 291 millions durant la même période l’année précédente. Toutefois, l’activité globale pour l’année à ce jour se chiffre à 1,19 milliard de dollars, soit une baisse de 9 % par rapport à 1,3 milliard l’an dernier. Si cette tendance se maintient au quatrième trimestre, l’investissement en capital de risque accusera un recul pour une deuxième année de suite.

La mobilisation de fonds au troisième trimestre de 2006 a totalisé 330 millions de dollars, comparativement à 229 millions au trimestre correspondant de l’année précédente. Depuis le début de 2006, on a réuni 1,21 milliard de dollars, par rapport à 1,43 milliard l’année précédente (tableau 1).

La tendance à la baisse de la mobilisation de fonds est préoccupante car elle laisse entrevoir un recul de l’investissement intérieur futur, du fait que les fonds recueillis aujourd’hui sont à la base de l’investissement au cours des années à venir.

Tableau 1
Investissements en capital de risque et mobilisation de fonds au cours des trois premiers trimestres de 2005 et de 2006
  2005
T1+T2+T3
2006
T1+T2+T3
Taux de croissance
(en millions de dollars) (pourcentage)
Investissements 1 300 1 190 -9
Mobilisation de fonds 1 430 1 210 -15
Source : Thomson Financial Canada, 2006.

Valeur moyenne des transactions

La valeur moyenne des 122 transactions3 effectuées au cours du troisième trimestre de 2006 était de 2,70 millions de dollars (tableau 2), soit une baisse de 29 % par rapport aux 3,80 millions du trimestre précédent, mais une hausse de 56 % par rapport au troisième trimestre de 2005. Les investisseurs étrangers ont une influence marquée sur la valeur des transactions. En effet, si l’on exclut leur participation, la valeur moyenne des transactions au troisième trimestre de 2006 est ramenée à 2,26 millions de dollars, soit une hausse de 52 % par rapport au trimestre correspondant de l’année précédente. La valeur moyenne des transactions des investisseurs étrangers a atteint 5,63 millions au troisième trimestre de 2006, ce qui représente une légère baisse comparativement à une valeur moyenne de 6,05 millions pendant la même période en 2005.

Tableau 2
Valeur moyenne des transactions, investisseurs canadiens et investisseurs étrangers
  T3 de 2005 T3 de 2006
(en millions de dollars)
Investisseurs étrangers 6,05 5,63
Investisseurs canadiens 1,49 2,26
Tous les investisseurs 1,73 2,70
Source : Thomson Financial Canada, 2006.

Pour les trois premiers trimestres de 2006, la valeur moyenne des transactions se chiffre à 3,1 millions de dollars, soit une hausse de 34 % par rapport à une moyenne de 2,3 millions au cours de la même période l’année précédente. Ce montant concorde avec la valeur moyenne annuelle historique des transactions.

Proportion croissante du réinvestissement et de l’investissement dans des entreprises aux étapes ultérieures de leur développement

Au cours des trois premiers trimestres de 2006, les réinvestissements4 représentaient plus de 80 % de l’investissement global, et la valeur moyenne de ces transactions atteignait près de 5 millions de dollars. Les nouvelles entreprises du portefeuille d’investissement5 ont reçu les 20 % restants, la valeur moyenne des transactions étant de 1,8 million de dollars. La proportion de l’investissement dans les nouvelles entreprises est beaucoup plus faible que son niveau historique de 40 %. On observe souvent cette tendance lorsque la mobilisation de fonds est freinée parce que les fonds de capital de risque conservent les ressources nécessaires pour assurer la croissance des entreprises faisant déjà partie de leur portefeuille. Le tableau 3 donne une ventilation des nouveaux investissements et des réinvestissements selon l’étape de développement de l’entreprise6 Il est à noter que 71 % du réinvestissement est destiné aux entreprises qui en sont aux étapes ultérieures de leur développement, soit une proportion bien supérieure à la moyenne de 55 % observée sur dix ans.

Tous les investissements étrangers au troisième trimestre de 2006 constituent des réinvestissements; 96 % d’entre eux ont été effectués dans des entreprises en expansion, ce qui concorde avec les tendances historiques.

Tableau 3
Répartition des nouveaux investissements et des réinvestissements entre les entreprises aux premières étapes de leur développement et celles aux étapes ultérieures
  T3 de 2005 T3 de 2006
(pourcentage)
Nouveaux investissements Premières étapes 40 62
Étapes ultérieures 60 38
Réinvestissements Premières étapes 43 29
Étapes ultérieures 57 71
Source : Thomson Financial Canada, 2006.

Répartition entre les régions

L’Ontario et le Québec ont reçu respectivement 40 % et 32 % de l’investissement en capital de risque au cours du troisième trimestre de 2006. La principale source d’investissement en Ontario était le capital de risque étranger alors que les fonds de capital de risque de travailleurs occupaient le premier rang au Québec7. La figure 1 montre la part de l’investissement en capital de risque reçue par chaque région depuis le début de l’année par rapport au produit intérieur brut (PIB) et au nombre d’entreprises exerçant leurs activités dans les industries du savoir. La répartition de l’investissement en capital de risque depuis le début de l’année concorde avec la moyenne historique. La proportion de cet investissement est à peu près égale à la proportion d’entreprises des industries du savoir, sauf au Québec, où elle est beaucoup plus élevée, et dans les Prairies, où elle est beaucoup plus faible. L’écart observé dans les Prairies pourrait être attribuable à une sous-déclaration des activités en matière de capital de risque en Alberta. Les provinces de l’Atlantique comptent seulement 2 % de l’investissement en capital de risque et 3 % des entreprises des industries du savoir, mais elles représentent 6 % et 7 % respectivement du PIB et de la population du Canada. Tous les investissements dans cette région ont été faits en Nouvelle-Écosse, où les deux principaux investisseurs sont le gouvernement et les fonds de capital de risque de travailleurs. La présence d’investisseurs étrangers et d’investisseurs indépendants du secteur privé est faible dans les provinces de l’Atlantique.

Figure 1
Répartition de l’investissement en capital de risque, des entreprises des industries du savoir et du PIB entre les régions
Figure 1 : Répartition de l?investissement en capital de risque, des entreprises des industries du savoir et du PIB entre les régions

Source : Thomson Financial Canada, 2006; Statistique Canada, 2006; Industrie Canada, 2003.

* Données connues les plus récentes.

À l’augmentation de la part du capital de risque étranger correspond une diminution de l’investissement par les fonds de capital de risque de travailleurs

L’activité des investisseurs étrangers sur le marché canadien du capital de risque s’est accrue pendant les dix dernières années. Au cours du troisième trimestre de 2006, ils représentaient 27 % de l’investissement en capital de risque et ils ont effectué le tiers des investissements depuis le début de l’année, dépassant ainsi la moyenne historique de 25 %. La participation des fonds de travailleurs à l’investissement en capital de risque se situe autour de 20 %, ce qui est inférieur à la moyenne historique de 28 %.

Activités gouvernementales8

Au cours du troisième trimestre de 2006, la Banque de développement du Canada (BDC) a autorisé des investissements en capital de risque totalisant 26,8 millions de dollars dans 20 entreprises. En novembre, elle a lancé le fonds de co-investissement GO Capital, dédié à la création et au démarrage d’entreprises du secteur des technologies au Québec et doté de 50 millions de dollars. La BDC agira à titre de gestionnaire du fonds et y investira 10 millions avec quatre fonds établis au Québec. En outre, elle versera une contribution égale aux investissements du fonds, ce qui portera à 100 millions de dollars le capital disponible.

Exportation et développement Canada (EDC) fait des investissements en capital-actions dans des petites et moyennes entreprises canadiennes pour leur permettre d’accroître leurs activités d’exportation. En outre, l’organisme investit dans des projets étrangers qui font appel à des biens et à des services canadiens. EDC n’a déclaré aucune transaction d’investissement en capital de risque au cours du troisième trimestre de 2006.

Développement économique Canada pour les régions du Québec a lancé le Fonds de capital de risque pour le démarrage d’entreprises en région. L’agence s’est engagée à verser 5 millions de dollars et elle recueillera plus de 15 millions auprès d’autres sociétés de capital de risque et d’entrepreneurs.

Les fonds des gouvernements provinciaux ont été à l’origine de six transactions au cours du troisième trimestre de 2006. Ils ont investi seuls, en tant qu’investisseurs principaux avec d’autres partenaires, ou conjointement avec la BDC. La plus grosse transaction de ces fonds, un investissement de 4 millions de dollars dans Medusa Medical Technologies, a été réalisée par le Nova Scotia First Fund en collaboration avec des fonds de capital de risque des États-Unis et du Royaume-Uni.

Haut de la page
Haut

SYNDICATION ET COÛT DU CAPITAL DE RISQUE

La syndication9 est un phénomène répandu dans le milieu canadien du capital de risque. Depuis 1999, la moitié des transactions portant sur ce type de financement ont été faites par un consortium de prêteurs, et cette tendance s’accentue. Les transactions consortiales représentent environ 80 % du capital de risque investi. Le regroupement d’investisseurs providentiels au Canada va aussi en augmentant. D’après la recherche, les investisseurs se regroupent lorsqu’ils veulent partager le risque, l’expertise et les compétences ou lorsqu’un investisseur ne dispose pas à lui seul de fonds suffisants.

D’après une étude récente10 sur les coûts du financement par capital de risque, les transactions consortiales font grimper les coûts assumés par l’entreprise financée par ce type de capital, en particulier lorsque chaque cycle de financement fait intervenir de nouveaux prêteurs. Ces coûts sont attribuables aux périodes de négociation plus longues et à la répétition des activités de contrôle préalable lorsque de nouveaux investisseurs se joignent au consortium au cours des cycles de réinvestissement. L’étude indique que la syndication pourrait rendre le marché du capital de risque moins concurrentiel en réduisant le nombre de fonds auxquels une entreprise de haute technologie peut s’adresser pour obtenir du financement. Elle donne à penser que cette situation peut diminuer le pouvoir de négociation de l’entreprise et, par le fait, même son évaluation.

Le fait qu’un marché du capital de risque soit moins concurrentiel a un effet déterminant, car les entreprises de haute technologie peuvent être contraintes à accepter des transactions qui ne leur permettent pas d’obtenir le capital requis pour assurer leur croissance, ce qui réduit par ricochet leurs chances de succès.

La recherche susmentionnée ne fait que survoler les enjeux relatifs à l’incidence de la syndication sur l’entreprise.

Haut de la page
Haut

« PLEINS FEUX » SUR OTTAWA-CARLETON

Entre 1999 et 2006, Ottawa comptait 169 entreprises de haute technologie bénéficiant de capital de risque. Sur ce nombre, plus de 80 % exerçaient leurs activités dans le secteur de la technologie de l’information. La prédominance de ce secteur, en particulier les télécommunications et le réseautage, est principalement attribuable à la présence, à la fin des années 1990, de centres de recherche publics de calibre mondial et de géants des communications et du réseautage comme Nortel, JDS Uniphase, Mitel, MOSAID et Tundra11 L’approvisionnement extérieur de ces entreprises et les entreprises dérivées créées par d’anciens employés de ces géants ont alimenté la grappe actuelle d’entreprises technologiques.

Aujourd’hui, cinq ans après la bulle technologique, Ottawa commence à regagner du terrain, mais les progrès sont lents. Les industries de la technologie de l’information et des communications continuent de dominer, si bien que ces entreprises demeurent vulnérables aux chocs cycliques dans le secteur.

Figure 2
Nombre d’entreprises d’Ottawa ayant obtenu du capital de risque pour la première fois par rapport à celles ayant bénéficié d’un réinvestissement, de 2000 à 2006
Figure 2 : Nombre d?entreprises d?Ottawa ayant obtenu du capital de risque pour la première fois par rapport à celles ayant bénéficié d?un 
réinvestissement, de 2000 à 2006

Source : Thomson Financial Canada, 2006.

* La figure fait uniquement état des données se rapportant aux trois premiers trimestres de 2006. Le nombre de nouvelles entreprises pourrait être sous-estimé, car certaines transactions ne sont pas rendues publiques par Thomson Financial.

La figure 2 montre que, conformément aux tendances nationales susmentionnées, l’investissement en capital de risque à Ottawa va surtout aux entreprises qui ont déjà obtenu du capital de risque. On observe une baisse marquée du nombre d’entreprises de haute technologie établies à Ottawa ayant obtenu leur premier investissement en capital de risque, ce nombre étant passé d’un sommet de 41 entreprises au cours de la bulle technologique en 2000 à seulement 8 en 2005. Comme six nouvelles entreprises ont obtenu du capital de risque au cours des trois premiers trimestres de 2006, il est probable que le nombre total de nouvelles entreprises bénéficiant de ce type de financement cette année sera similaire à celui de 2005.

Le nombre total d’entreprises ayant obtenu du capital de risque a diminué après la bulle technologique, mais il a remonté en 2004 et en 2005 pour s’établir à 40 et 41, respectivement (figure 3).

Figure 3
Investissement en capital de risque à Ottawa, de 1999 à 2006
Figure 3 : Investissement en capital de risque à Ottawa, de 1999 à 2006

Source : Thomson Financial Canada, 2006.

* Les données se rapportent uniquement aux trois premiers trimestres de 2006.

Le Centre d’entrepreneuriat du Centre de recherche et d’innovation d’Ottawa (OCRI) signale que l’on trouve à Ottawa un grand nombre de jeunes entreprises ayant d’excellentes perspectives, mais que ces entreprises ont de la difficulté à obtenir du capital de risque. Cette observation concorde avec le rapport de 2005 de l’OCRI, selon lequel les entrepreneurs d’Ottawa utilisent de plus en plus leurs propres ressources, au lieu de compter sur un investissement en capital de risque, pour financer leur entreprise. L’OCRI souligne par ailleurs que la concentration des investissements sur les entreprises déjà bénéficiaires fait partie intégrante d’un cycle d’investissement naturel. Les sociétés de capital de risque qui ont commencé à accorder des fonds à de nouvelles entreprises au cours de la bulle technologique s’apprêtent à retirer leurs fonds de ces entreprises. Après avoir réalisé leurs investissements, elles recommenceront avec de nouvelles entreprises. Enfin, parmi les bonnes nouvelles récentes, mentionnons l’intention de la société de capital de risque Ventures West d’ouvrir un bureau à Ottawa et la création de l’Ottawa Angel Alliance. Ces faits nouveaux devraient accroître l’investissement en capital de risque dans la ville.

Haut de la page
Haut

RÉFÉRENCES

Carpentier, Cécile, et Jean-Marc Suret. 2005. The Indirect Costs of Venture Capital in Canada. Centre de recherche CIRANO. Rapport affiché à www.cirano.qc.ca/pdf/publication/2005s-25.pdf.

Carpentier, Cécile, et Jean-Marc Suret. 2006. « Some Evidence of the External Financing Costs of New Technology-Based Firms in Canada. » Venture Capital, juillet-septembre 2006, vol. 8, no 3, p. 227 à 252.

Industrie Canada. 2003. Marché canadien du capital de risque : Analyse des tendances et des lacunes, 1996-2002.

Mallett, Jocelyn. 2002. Silicon Valley North: The Formation of the Ottawa Innovation Cluster. ACTI. Rapport affiché à www.itac.ca (en anglais seulement).

Centre de recherche et d’innovation d’Ottawa. 2006. Le Rapport OCRI 2005. Rapport affiché à www.ocri.ca/francais/ocrireport.

Statistique Canada. 2006. « Tableau sommaire : Produit intérieur brut en termes de dépenses, par province et territoire ». Document affiché à www.statcan.ca.

Thomson Financial Canada. 2006. VC Reporter.

Haut de la page
Haut

NOTES

La présente publication fait partie d’une série de documents publiés par la Division du financement de la Direction générale de la politique de la petite entreprise. Cette division analyse les marchés financiers et l’incidence des tendances observées sur l’accès des petites entreprises au financement. La recherche actuelle met l’accent sur les entreprises à forte croissance, les aspects du capital de risque et de l’environnement commercial en général au Canada qui influent sur le succès de ces entreprises, ainsi que les principaux intervenants du marché du capital de risque (par exemple, les sociétés de capital de risque et les investisseurs providentiels).

La Division du financement est par ailleurs responsable du Programme de recherche sur le financement des PME (PRF PME), vaste programme de collecte de données sur le financement des PME au Canada. En collaboration avec Statistique Canada et le ministère des Finances Canada, Industrie Canada publie des données sur l’offre et la demande, afin de brosser un tableau complet du financement des petites et moyennes entreprises. Pour obtenir de plus amples renseignements sur le Programme de recherche sur le financement des PME et prendre connaissance des conclusions et des rapports statistiques, consultez le site Web www.pme-prf.gc.ca.

Pour figurer sur la liste d’envoi de cette publication trimestrielle, communiquez avec Julie Bédard par téléphone au 613-941-1939 ou par courriel à bedard.julie@ic.gc.ca.

Pour toute question concernant le contenu de la présente publication, communiquez avec Younes Errounda par téléphone au 613-954-4369 ou par courriel à errounda.younes@ic.gc.ca.

Haut de la page
Haut

DROIT D’AUTEUR

On peut obtenir cette publication sur supports accessibles, sur demande. Communiquer avec la :

Section des services du multimédia
Direction générale des communications et du marketing
Industrie Canada
Bureau 264D, tour Ouest
235 rue Queen
Ottawa (Ontario) K1A 0H5

Tél. : 613-948-1554
Téléc. : 613-947-7155
Courriel : production.multimedia@ic.gc.ca

Autorisation de reproduction
À moins d’indication contraire, l’information contenue dans cette publication peut être reproduite, en tout ou en partie et par quelque moyen que ce soit, sans frais et sans autre permission d’Industrie Canada, pourvu qu’une diligence raisonnable soit exercée afin d’assurer l’ exactitude de l’information reproduite, qu’Industrie Canada soit mentionné comme organisme source et que la reproduction ne soit présentée ni comme une version officielle ni comme une copie ayant été faite en collaboration avec Industrie Canada ou avec son consentement.

Pour obtenir l’autorisation de reproduire l’information contenue dans cette publication à des fins commerciales, faire parvenir un courriel à copyright.droitdauteur@pwgsc.gc.ca

N.B. Dans cette publication, la forme masculine désigne tant les femmes que les hommes.

60157

Also available in English under the title Venture Captial Monitor — Q3 2006..


1 À moins d’indication contraire, Thomson Financial Canada est la source des données figurant dans la présente publication.

2 L’expression mobilisation de fonds désigne l’activité en vertu de laquelle les fonds de capital de risque recueillent de l’argent des investisseurs institutionnels, des particuliers, des administrations publiques ou d’autres investisseurs. Le terme investissement renvoie à l’activité en vertu de laquelle les fonds de capital de risque investissent cet argent au nom des investisseurs.

3 Le terme transaction désigne l’opération entre un ou plusieurs fonds de capital de risque et l’entreprise qui reçoit le financement. Une valeur moyenne élevée semble indiquer que les entreprises obtiennent un financement plus approprié pour assurer leur croissance.

4 Le terme réinvestissement renvoie au financement accordé aux entreprises ayant déjà obtenu du capital de risque.

5 Les nouvelles entreprises du portefeuille d’investissement sont celles qui viennent de recevoir du capital de risque pour la première fois.

6 L’expression entreprises aux étapes ultérieures de leur développement désigne les entreprises bien établies qui ont besoin de capital pour prendre de l’expansion. L’expression entreprises aux premières étapes de leur développement renvoie aux entreprises en développement qui ont besoin de fonds pour la recherche, le développement de produits ou une première commercialisation.

7 Les fonds de capital de risque de travailleurs sont des sociétés de capital de risque spéciales recevant des fonds de particuliers, qui obtiennent en contrepartie un crédit d’impôt sur le revenu. Le gouvernement fédéral et la plupart des gouvernements provinciaux ont mis en place ce type de programme.

8 On trouvera dans les prochains numéros du Moniteur du capital de risque plus de détails sur les transactions de capital de risque effectuées par la BDC, EDC et Investissement FAC de Financement agricole Canada.

9 On parle de syndication lorsque plus d’une société de capital de risque participe à une transaction de financement avec une entreprise.

10 Cécile Carpentier et Jean-Marc Suret, juillet 2006; Cécile Carpentier et Jean-Marc Suret, juin 2005.

11 Jocelyn Mallett, 2002.



Création : 2007-01-09
Révision : 2007-01-26
Haut de la page
Haut de la page
Avis importants