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 Secteur des sciences de la Terre
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Guide à l'intention des auteurs (CGC)
Rédaction du rapport
Page précédente (Premières étapes)Index (Préparation des cartes et des rapportspour publication)Page suivante (Responsabilités de l'auteur)

Bien que personne ne puisse dire à quelqu'un d'autre comment rédiger un rapport, on peut quand même donner des conseils et faire des suggestions. Comme l'écriture est une expression de la personnalité, lorsqu'on impose des directives rigides, on obtient un rapport factuel mais peu intéressant. Un auteur, cependant, ne devrait jamais oublier que le but principal est le transfert d'information. On croit que l'information qui se trouve dans un rapport ou qui peut en être déduite vaut la peine d'être communiquée à un plus grand public. Pour atteindre ce but, il faut surtout de la précision et de la clarté. Dès les premières lignes du résumé jusqu'à la dernière phrase de la conclusion, ces qualités ne devraient jamais être oubliées.

Les rapports scientifiques n'ont pas besoin d'être écrits dans un style trop relevé, quoiqu'il est fort peu probable qu'ils rivalisent avec un best-seller. Ils doivent, cependant, être logiques et chaque rapport réussi a été écrit en suivant un plan clair et concis. Ce plan doit être élaboré dès que la décision d'écrire le rapport est prise. Il permet à l'auteur de définir les principaux sujets qui seront traités, de voir s'ils seront développés logiquement et de repérer toutes les lacunes de la recherche. Le plan, un peu modifié, constituera la table des matières.

Avant d'écrire un rapport, l'auteur doit examiner d'autres rapports semblables publiés antérieurement par la CGC. Il est préférable que les rapports de la CGC suivent des plans plus ou moins semblables. Cela facilitera la tâche du lecteur qui s'y retrouvera plus facilement et aidera les auteurs à présenter leurs données dans une séquence plus logique.



Format des bulletins

Bien que les formats autorisés pour les bulletins aient varié beaucoup dans le passé, présentement, la CGC publie deux types de bulletins :


Bulletin à auteurs multiples et à articles multiples (compendium)

Ce type de bulletin est publié sous la forme d'un recueil d'articles dans le style des volumes de la série Recherches en cours ou du Bulletin 547 – The Physical Environment of the Mackenzie Valley, Northwest Territories: a Base Line for the Assessment of Environmental Change. Les bulletins ne contiennent aucun chapitre. Chaque article comporte son propre résumé (maximum 150 mots), son introduction, ses remerciements et des références. Le volume doit contenir un sommaire. L'introduction est facultative, mais si cette option est choisie, elle sera traitée comme celle des autres articles publiés dans le volume, avec sa propre notation bibliographique. Les remerciements doivent apparaître immédiatement avant les références. Chaque auteur est cité dans d'autres publications comme étant un auteur d'un article particulier du volume. Les auteurs qui citent d'autres articles du même volume doivent le faire en citant le nom de l'auteur et l'année de publication, et la référence complète de l'article apparaît dans les références. Ce type de bulletin est habituellement compilé par un éditeur ou coordonnateur. Il est donc possible d'y faire référence dans d'autres publications dans sa totalité en citant le nom de l'éditeur ou du coordonnateur.


Bulletin monographique

Ce type de bulletin est l'oeuvre d'un ou de plusieurs auteurs écrivant sur un seul sujet. Le manuscrit est subdivisé en sections ou rubriques principales et non en chapitres. L'ouvrage contient un résumé (maximum 250 mots), un sommaire et une introduction. Les remerciements suivent l'introduction. Les auteurs partagent le crédit pour l'ensemble du bulletin lorsqu'on en fait mention dans d'autres publications. à titre d'exemple, citons le Bulletin 551 (Thorleifson et Garrett – Lithology, Mineralogy, and Geochemistry of Glacial Sediments Overlying Kimberlite at Smeaton, Saskatchewan).

Le dossier d'un manuscrit doit comprendre le texte, tapé à double interligne, les copies papier des figures, des tableaux, des légendes et des annexes ainsi que les fichiers numériques de tout le matériel.



Titre

Le titre doit être concis et informatif. Il sera, très probablement, la première référence au rapport qu'un lecteur verra et, en conséquence, il devrait pouvoir capter l'attention de ce dernier. Le contenu du rapport devrait transparaître dans le titre qui devrait mentionner le sujet, le cas échéant, l'âge géologique et le l'emplacement géographique, y compris la province ou le territoire, mais non une désignation du SNRC. Prendre note que, dans la plupart des cas, il n'est pas nécessaire d'indiquer le mot «Canada» .

Le titre devrait commencer avec un mot clé et non par un article ou une périphrase inutile comme «une note sur», «une évaluation sur le», «un rapport préliminaire sur» ou autres.

Les titres en apposition, c'est-à-dire les titres secondaires figurant après un titre principal suivi d'un deux-points ou d'un tiret, ne correspondent pas au style de rédaction de la CGC et devraient être évités, dans la mesure du possible.

à moins que les deux documents ne soient publiés ensemble, il est préférable de ne pas utiliser d'étiquette comme «Partie 1», «Partie 2», ou «Rapport 1», «Rapport 2», puisqu'il n'y a aucune certitude que les conditions nécessaires à la publication du deuxième document, comme l'affectation des fonds nécessaires ou l'approbation de la division, soient réunies. Par conséquent, pour éviter la confusion, au lieu d'écrire :

Géologie du bloc de Hopedale dans la Province de Nain au Labrador : Rapport 1

et

Géologie du bloc de Hopedale de la Province de Nain au Labrador : Rapport 2

utiliser un titre plus descriptif pour chaque partie, comme suit :

Géologie des régions du lac Florence et de Hopedale, bloc de Hopedale de la Province de Nain, Labrador

et

Géologie de la zone limitrophe de Nain-Makkovik, bloc de Hopedale de la Province de Nain, Labrador

En évitant de mentionner «Rapport 1» et «Rapport 2», on améliore les titres qui deviennent plus informatifs et plus faciles à cataloguer pour les bibliothécaires. On peut améliorer davantage les titres en fournissant, s'il y a lieu, une indication de l'âge géologique (p. ex. «Géologie archéenne des régions du lac Florence...»).

Il est préférable d'utiliser des titres courts. éviter d'utiliser plusieurs mots composés pour qualifier un substantif dans un titre, p. ex. «Bassin arrière-arc hautement sédimenté» et n'utiliser pas de substantif comme adjectif, «Symposium Rejet de déchets en mer».


Système national de référence cartographique (SNRC)

Les désignations du Système national de référence cartographique destinées aux cartes ne doivent pas apparaître dans le titre; il faut toutefois y faire référence sur la page titre, ou dans le résumé, le sommaire ou l'introduction, puisqu'elles aident les bibliothécaires et les indexateurs, de même que les utilisateurs, à localiser un toponyme qui serait autrement complètement inconnu.



Paternité

Généralités

Les auteurs doivent être uniformes dans la façon d'utiliser leur prénom et leurs initiales tout au long de leur carrière. Lorsqu'ils changent de prénom et d'initiales, ils sèment la confusion chez leurs collègues, les bibliothécaires et les bibliographes qui, s'ils font une recherche documentaire sur l'auteur en question, ne pourront repérer l'ensemble de ses travaux. L'omission d'une initiale est une erreur extrêmement courante.

Bien que la CGC n'ait aucune objection à ce que les auteurs utilisent leur prénom principal et des initiales plutôt que seulement des initiales, les auteurs devraient prendre note qu'ils sont identifiés seulement avec leur nom et leurs initiales dans les références de la CGC et dans les notations bibliographiques recommandées.

Seuls les initiales et le nom de l'auteur doivent figurer sur la page couverture et sur la page titre, sauf lorsque cela pourrait prêter à confusion (p. ex. deux auteurs avec le même nom de famille et la (les) même(s) initiale(s)).


Paternité principale

Dans une publication à plusieurs auteurs, l'auteur principal, qui est chargé d'organiser et de réunir les différentes parties du rapport, doit être mentionné en premier. Les autres auteurs figurent ensuite par ordre alphabétique s'ils ont fait des contributions d'importance égale à la publication, ou figurent par ordre décroissant de l'importance de leur contribution. Tous les co-auteurs doivent indiquer, par écrit, qu'ils ont lu et qu'ils sont d'accord avec l'information présentée dans l'ouvrage auquel ils ont contribué à titre de co-auteur; une photocopie de l'entente doit accompagner le manuscrit présenté à la Division de la diffusion des données.


Paternité conjointe

Lorsque chaque auteur cité a fait une contribution importante et égale, tant à la recherche qu'à la rédaction du rapport, les noms sont habituellement organisés par ordre alphabétique.


Responsable du bulletin

Lorsqu'un ou plusieurs auteurs d'un bulletin à auteurs multiples sont responsables de réunir les articles qui composeront le volume et de travailler avec la Section des éditions scientifiques et techniques, on les nomme responsables du bulletin. Ils maintiennent le lien entre la Section des éditions scientifiques et techniques et les auteurs. Il leur incombe d'obtenir les articles et les illustrations des contributeurs, de retourner les copies révisées aux auteurs et de s'assurer que les réponses des auteurs aux questions posées par les rédacteurs-réviseurs scientifiques retournent à la Section. Ils peuvent également réviser les documents constitutifs du bulletin pour assurer l'uniformité du style.


Compilateurs

Le terme «compilateur» est utilisé surtout pour les cartes de la série A et les cartes des dossiers publics. Le compilateur est chargé de recueillir toutes les données pour un travail, mais son apport de nouveau matériel scientifique est minime. Le compilateur serait le terme approprié pour désigner une personne-ressource dans le domaine scientifique qui n'exécute pas les tâches inhérentes au responsable du volume (voir ci-dessus).


Contributions secondaires

Le personnel scientifique et technique peut fournir des données sous la forme de datations, d'analyses de roches ou de minéraux, d'identification de fossiles, de renseignements paléomagnétiques, de données pétrographiques, etc. Dans la mesure du possible, ces données devraient être regroupées en tableaux ou en annexes, de préférence dans des parties séparées à la fin du rapport, avec le nom du chercheur, de sorte que les résultats puissent être cités dans d'autres publications.

Lorsque ce n'est pas possible et lorsque ces contributions sont dispersées dans le texte, il faut mentionner adéquatement la source, par exemple, «ces roches ont été étudiées par J.M. Jones de la Commission géologique du Canada, qui mentionne que...».

Les tableaux présentant des données analytiques ou d'autre nature doivent indiquer clairement le nom du laboratoire où les analyses ont été faites ainsi que le nom de l'analyste lui-même (s'il y a lieu), la méthode utilisée et les numéros d'identification du laboratoire.



Préface

La préface n'est plus exigée dans les bulletins ou dans d'autres types de rapports de la CGC. Dans le cas de publications ayant une importance spéciale, elle pourrait être exigée. Elle doit indiquer la raison de l'étude, dans quelle mesure le rapport permet d'atteindre les objectifs du Ministère et énoncer brièvement la nature du rapport. La préface ne constitue pas un résumé et ne doit pas contenir de figures, de tableaux, d'illustrations ou de mentions de sources.

La préface est signée par le gestionnaire principal de la Commission géologique du Canada et sert également à donner l'approbation officielle du rapport. La préface précède la table des matières.



Table des matières

En ce qui concerne les monographies, la table des matières répertorie les principaux titres du rapport et conclut avec une liste des tableaux et des illustrations (figures et cartes) indiquant toutes les figures en pochette. Normalement, les titres placés plus bas que le quatrième niveau ou les titres répétitifs ne figurent pas dans la table des matières du rapport publié, mais le manuscrit doit montrer l'importance relative des titres. L'ordre des titres est présenté dans la table des matières par des retraits successifs :

Paléontologie et biostratigraphie

Introduction
Trilobites
Trilobites cambriens
Cambrien moyen
Cambrien tardif
Trilobites ordoviciens
Ordovicien précoce
Ordovicien moyen

Contrairement au style de rédaction de certaines revues scientifiques, les sections, les paragraphes et les sous-paragraphes, etc. ne sont habituellement pas numérotés dans les rapports de la CGC (sauf les grands rapports exhaustifs comme ceux de la série «Géologie du Canada»).

L'ordre habituel pour la page de la table des matières est le suivant :

Résumé/Abstract
Sommaire/Summary
Introduction
Remerciements
Le corps du texte
-
-
-
Références
Annexes
Tableaux
Illustrations
     Cartes
     Figures (y compris les photographies)
Planches paléontologiques

Les légendes des figures et des autres illustrations figurant dans la table des matières ne devraient contenir qu'une ou deux lignes et ne devraient pas comprendre de mentions de sources. Les subdivisions des figures (a, b, c) devraient être remplacées par une brève description. Dans la majorité des cas, il n'est pas nécessaire d'utiliser la légende complète figurant dans le texte même.

En ce qui concerne les compendiums, la table des matières doit comprendre les titres des contributions individuelles et le nom des auteurs.


Avant-propos

Dans certaines circonstances, on peut inclure un avant-propos dans une publication de la CGC. Celui-ci sera placé juste après la table des matières. Habituellement, l'avant-propos précède le sommaire d'un volume à auteurs multiples et est habituellement écrit par le responsable ou le compilateur du volume. Il peut contenir des figures, des remerciements et des références bibliographiques dans les cas où il remplace l'introduction.


Résumé

Des résumés doivent figurer dans toutes les monographies de la CGC et les contributions à la série Recherches en cours et dans tous les compendiums. Ils doivent être écrits en phrases complètes et avoir une longueur maximale de 250 mots (un maximum de 150 mots pour la série Recherches en cours et les compendiums). Les résumés trop longs seront raccourcis à la longueur voulue ou, si le temps le permet, seront retournés à l'auteur pour que celui-ci le fasse. Un résumé bien écrit permet au lecteur de décider si le rapport l'intéresse. Le résumé doit consister en un énoncé concis du rapport. Il ne faut pas répéter le titre. Les résumés de rapports sur des travaux expérimentaux devraient contenir des conclusions quantitatives.

Les résumés publiés par la CGC ne doivent contenir ni figures, ni tableaux, ni illustrations ni mentions de sources.

Les résumés sont publiés en anglais et en français.

Sommaire

Pour améliorer l'accès dans les deux langues officielles aux publications des programmes scientifiques de la CGC, tous les manuscrits destinés à la publication dans la série Bulletins doivent être accompagnés d'un sommaire qui sera imprimé en français et en anglais. Les rapports devant être publiés dans les deux langues officielles n'ont pas besoin de sommaire. Dans cette catégorie se trouvent les rapports d'intérêt général, les rapports à incidence économique plus large et ceux qui traitent de sujets pancanadiens.

La longueur du sommaire doit être proportionnelle à la longueur du rapport (de 3 à 5 %), mais doit avoir au moins une page et demie de texte à double interligne.

Les mentions de sources, les figures, les tableaux ou tout autre matériel d'illustration ne doivent pas figurer dans un sommaire.

On peut trouver des exemples de sommaires dans les bulletins récents de la CGC.


Introduction

Un énoncé clair des objectifs du projet et de sa contribution aux travaux de la CGC doit apparaître dans le premier paragraphe de l'introduction. La nature et la portée de l'étude devraient être décrites brièvement dans l'introduction. D'autres sujets qui sont couramment présentés dans cette partie sont le lieu et l'importance de la zone, l'accès, sa valeur économique et les caractéristiques physiques.


Remerciements

Ils sont regroupés à un endroit du rapport, soit à la fin de l'introduction ou, comme c'est le cas pour les recueils d'articles et la série Recherches en cours, sous un titre de premier ordre placé juste avant les références.

Il faut mentionner les collègues de la CGC qui ont fait l'examen critique du manuscrit ou ont fait une contribution importante. Il faut également indiquer le soutien reçu sur le terrain et au laboratoire et les techniciens ayant participé à l'étude. Les membres de la famille, les amis et les animaux favoris ne doivent pas être mentionnés à moins qu'ils aient contribué à la préparation du rapport.

L'aide provenant de personnes qui n'ont aucun lien avec la CGC doit être exprimée avec plus de discrétion. Dans cette catégorie se trouvent les organismes externes, comme les sociétés d'exploration, et les sources de soutien financier ou logistique autres que la CGC.

Il faut également souligner l'apport de données confidentielles ou non publiées et de spécimens fournis par des collègues et des entreprises privées.

Dans le cas de grands projets en collaboration comme les ententes sur l'exploitation minérale, le projet CARTNAT, le projet LITHOPROBE, etc., le but est d'uniformiser les remerciements autant que possible. Par exemple, les remerciements visant le projet CARTNAT dans un manuscrit quel qu'il soit (études, bulletins, dossiers publics, etc.) doivent prendre la forme suivante :

Une contribution du Projet (dossier de projet) CARTNAT 

alors que les remerciements concernant les cartes doivent inclure le logo CARTNAT et le titre du projet; les logos appartenant à des dossiers de projet individuel ne doivent pas être inclus. La Division de la diffusion des données fournit régulièrement des lignes directrices et des conseils aux auteurs pour l'utilisation et la taille relative des logos permis et la façon de remercier les partenaires (p. ex. les commissions provinciales et territoriales).


Sections successives

Le sujet traité dans la plupart des rapports peut être subdivisé. Sauf dans le cas de volumes importants, les subdivisions habituelles d'un texte, comme le chapitre, ne sont pas utilisées dans les rapports de la CGC. On se sert plutôt de la hiérarchie des titres pour indiquer la relation entre les sections du rapport et leur importance respective dans le texte.

Même s'il n'est pas formellement désigné «Introduction», on utilise couramment le premier paragraphe de chaque section importante pour résumer le contenu de la section.

Les diverses parties d'un rapport passent habituellement du général (Introduction, Géologie générale, etc.) au particulier et de nouveau au général (Conclusions). La plupart des parties d'un rapport sont reliées par des liens logiques et il faut prendre soin de les mettre en évidence pendant la rédaction.

Ne pas faire de renvoi à l'aide de numéro de page, utiliser plutôt les titres de sections.


Géologie générale

Même si le nombre de rapports traitant de la géologie régionale a diminué, plusieurs rapports ont toujours une section consacrée à ce sujet. Normalement, elle se divise en trois parties principales : l'énoncé général, le tableau des formations et la description des formations.


énoncé général

Il est habituellement court, quoique dans certains cas particuliers, on puisse l'allonger. Il vise principalement à faire ressortir le contexte géologique régional et à présenter un bref portrait de la géologie locale, en mettant l'accent sur les découvertes d'intérêt particulier. On peut laisser tomber les détails et tirer des conclusions sans nécessairement étayer avec des preuves.


Tableau des formations

Le mot «formation» tel qu'on l'utilise ici et dans le tableau des formations est employé dans un sens général pour inclure tous les types de roches, qu'elles soient sédimentaires, volcaniques, intrusives ou métamorphiques, qui constituent ensemble ou séparément une unité cartographique. Il faut donc distinguer cette acception du mot «formation» de celle utilisée pour désigner une unité lithologique d'origine sédimentaire ou volcanique.

Peu d'éléments du rapport exigent un plus grand souci du détail que le tableau des formations, car c'est à ce tableau qu'on se reportera le plus souvent pour une récapitulation de la géologie régionale. Toutes les roches, qu'elles soient cartographiables ou non, doivent être incluses et placées dans leur ordre stratigraphique présumé. La nature des contacts entre les unités lithologiques successives devrait être indiquée, lorsque c'est possible, en utilisant des termes comme discordance, disconformité, contact intrusif, contact graduel, relations inconnues, etc. Quatre colonnes sont généralement utilisées : l'ère, la période ou l'époque, le nom de la formation et la lithologie. Lorsque les épaisseurs sont connues ou qu'elles ont été estimées, elles peuvent être indiquées dans la colonne contenant les désignations des formations.

Pour élaborer le tableau des formations, il faut suivre fidèlement le modèle présenté dans d'autres rapports récents, y compris les majuscules, la ponctuation et les retraits. Quelques exemples sont présentés à la figure 1a-d.

Tableau 1a. Exemple de tableau de formations.
Tableau 1a. Exemple de tableau de formations.
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Description des formations

Les formations sont décrites dans l'ordre, de la plus vieille à la plus jeune, et généralement dans le même ordre que celui qui apparaît sur la légende de la carte et dans le tableau des formations. Il arrive toutefois que les roches sédimentaires et volcaniques soient décrites en premier, et que les roches intrusives soient traitées dans l'ordre dans les pages suivantes.

En principe, la CGC suit le «North American Stratigraphic codes» (Code stratigraphique nord-américain), mais pas nécessairement de manière absolue. Cependant, on peut s'écarter du Code seulement avec l'approbation de la Section des éditions scientifiques et techniques qui consultera les paléontologistes de la CGC ou suivant les recommandations de celle-ci.

Descriptions des profils. Pour certains rapports, il est extrêmement important et nécessaire d'effectuer des descriptions de chaque couche d'un profil stratigraphique. Toutefois, de telles descriptions sont habituellement très volumineuses et très chères à publier. La pratique courante de la CGC à ce sujet est la suivante :

  1. Les descriptions des profils stratigraphiques de stratotypes, des hypostratotypes principaux, etc., si elles sont de longueur raisonnable peuvent être incluses dans le corps d'un article sans qu'il ne soit nécessaire de diminuer la taille de la police. Les profils stratigraphiques plus longs dans cette catégorie seront traités comme au paragraphe 2 ci-dessous.

    Tableau 1b. Exemple de tableau de formations.
    Tableau 1b. Exemple de tableau de formations.
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  2. Les descriptions des profils stratigraphiques des hypostratotypes, si elles sont de longueur raisonnable, peuvent être présentées en annexe en réduisant la taille de la police.

  3. Les profils stratigraphiques excessivement longs peuvent être publiés dans un dossier public de la CGC en reproduisant l'original de l'auteur et incorporés par renvoi dans le rapport imprimé. Toutefois, il est essentiel que les profils décrits soient précis et préparés avec soin.

Beaucoup de temps d'éditique est consacré à réorganiser les descriptions des unités lithologiques et à éliminer les erreurs de description, de totaux d'épaisseurs et de conversion en unités métriques. Chaque unité ou couche doit être décrite logiquement et uniformément comme suit :

Type lithologique : composition ou minéralogie; grosseur des grains ou des cristaux; couleur des surfaces non altérée et altérée; caractéristiques des couches; autres structures; teneur en fossiles; contact basal; commentaires généraux ou supplémentaires.

Quoique toutes les mesures des profils soient maintenant faites en unités métriques, on doit se rappeler qu'avant 1970, la plupart des profils étaient mesurés en pieds et en pouces. Puisqu'il faut couramment comparer avec des documents plus anciens, il est très utile, pour le lecteur, que les conversions effectuées soient indiquées dans le texte. De plus, il est très pratique, surtout pour le rédacteur-réviseur, que l'auteur indique le système de mesures initial.

Puisque la majorité des profils sont mesurés du bas vers le haut, mais décrits en sens contraire, certaines ambiguïtés se glissent parfois dans la description imprimée et il faut les éviter dans la mesure du possible. Par exemple, ne pas indiquer que les dolomies de l'unité 64 sont les mêmes que celles décrites dans l'unité 41, puisque le lecteur n'a pas encore lu la description de l'unité 41. Au lieu de cela, s'il faut économiser de l'espace, décrire l'unité 64 en détail et ensuite, indiquer que la dolomie de l'unité 41 est la même que la dolomie de l'unité 64. De la même façon, décrire le contact basal de chaque unité, puisque cela mène naturellement vers le bas, vers la prochaine unité décrite.

Tableau 1c. Exemple de tableau de formations.
Tableau 1c. Exemple de tableau de formations.
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Tableau 1d. Exemple de tableau de formations.
Tableau 1d. Exemple de tableau de formations.
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Les auteurs décrivent les profils pour le lecteur et puisque différents lecteurs cherchent différents niveaux d'information, la description d'un profil doit pouvoir se lire à différents niveaux. Par exemple, un grand nombre de lecteurs cherchent simplement la distribution et la nature des types lithologiques de base, ou leur variation, dans un membre particulier ou une séquence de formation. Pour cette raison, il est très important que les types lithologiques ressortent du texte détaillé - comme dans les figures 1c et 1d.

Certains auteurs décrivent parfois des séquences complexes interlitées comme une seule unité. Il en résulte que les types lithologiques individuels ont tendance à disparaître dans l'arrière-plan et les descriptions portent à confusion. Pour éviter cela, on propose de travailler de la manière suivante.

Certains auteurs, lorsqu'ils analysent les profils de la subsurface, qui sont normalement mesurés de haut en bas, inversent la séquence chronologique des événements, particulièrement lorsqu'ils traitent de la transition d'un milieu à un autre. Par exemple, dans le cas d'un shale marin du Crétacé recouvrant une séquence non marine du Trias, il est manifestement incorrect de déclarer qu'au début du Crétacé il y a eu une régression marine et que la zone est devenue désertique. à cette époque, il y a eu une transgression marine puisque les conditions continentales ont laissé place à des conditions marines. Se rappeler que, quelle que soit la direction dans laquelle un profil est mesuré, la séquence des événements n'a de sens que dans une seule direction, soit des strates plus anciennes vers les plus jeunes.

Les fossiles identifiés doivent être répertoriés par leur nom sous la description des couches dans lesquelles ils ont été trouvés et le code de localisation enregistré de la CGC (voir «Paléontologie» ) doit être indiqué.


Cartes et autres illustrations

Cartes

La CGC publie maintenant surtout des cartes en couleurs sous forme de copies papier et de dossiers publics produits sur demande. Les fonds de carte utilisés pour la cueillette de données sur le terrain et la publication sont habituellement à des échelles courantes comme 1/50 000, 1/100 000, 1/250 000, etc. Cependant, pour des cas spéciaux, l'échelle peut être modifiée pour faciliter le travail sur le terrain ou la publication des données.

Pour plus de détails sur la production de cartes géoscientifiques, liser la page Web suivante :
Spécifications conception cartographique

Les indicateurs d'unités sur une carte doivent suivre la convention utilisée traditionnellement par la CGC. Le premier symbole d'une unité cartographique est l'indicateur chronologique. La police spéciale de la CGC est utilisée comme caractères de référence pour symboliser l'âge géologique. Les modificateurs suivants sont placés à la gauche du symbole de l'âge : Précoce, E; Moyen, M; Tardif, L; inférieur, I; moyen, m; supérieur, u. Les petites majuscules désignent le groupe, la formation ou le membre (voir la Formation de Trout Brook du Cambrien dans l'exemple de légende). Les minuscules désignent la lithologie ou la minéralogie. Prendre soin de ne pas dédoubler les indicateurs d'unités. Voir la partie portant sur les indicateurs chronologiques de la CGC à l'adresse Internet susmentionnée.

Il incombe aux auteurs d'assurer que tous les toponymes utilisés dans le texte apparaissent sur la carte manuscrite. On leur conseille de consulter leurs collègues, les coordonnateurs de la Division et le personnel de cartographie et de rédaction à ce sujet. Une grande variété d'exemples de cartes géologiques semblables récemment publiées peuvent être examinées. Accorder une attention particulière aux légendes.

Légende
Légende
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La liste des auteurs figure maintenant dans le générique des cartes. C’est à cet endroit que doit également figurer la liste des autres personnes qui ont contribué à la préparation de la carte.

Exemples :

Auteurs : P. Thibaudeau et J.J. Veillette

Géologie : P. Thibaudeau, J.J. Veillette, 1987, 1988, 1990, 1991, 1997

Compilation géologique : P. Thibaudeau, J.J. Veillette, 1991, 1992, 1998

Numérisation et cartographie numérique : R. Fournier, S. Robitaille, Geotech Services géomatiques

Vérification et cartographie numérique : L. Robertson, Division de la Science des terrains

Cartographie numérique : N. Côté, Division de l’information du Secteur des sciences de la Terre (Info SST)

Auteurs : J.P. Hibbard, C.R. van Staal, D.W. Rankin et H. Williams

Collaborateurs principaux pour la géologie : S.M. Barr, D. Brisebois, S.P. Colman-Sadd, A.J. Dennis. L.R. Fyffe, M.H. Gale, R.D. Hatcher Jr., W.S. Henika, J.W. Horton Jr., J.D. Keppie, A. Ludman, J. McLelland, N.M. Ratcliffe, D.C. Roy, D.T. Secor Jr., C.S. Southworth, M.G. Steltenpohl, K.G. Stewart, P.J. Thompson Jr., A. Tremblay et J.F. Tull

Soutien logistique : E. Campbell, E. Crider, M.P. Foose, D. Fountain, A. Goldstein, S. Harlan, M. Medina, J. Quick, P.G. Schruben, A.P. Schultz, J.B. Whisner et T.Q. Wright

Autres collaborateurs et sources d’information pour la géologie : M.G. Adams, J.N. Aleinikoff, G.O. Allard, D.T. Allison, T.R. Armstrong, R.A. Ayuso, C.M. Bailey, M.J. Bartholomew, H.N. Berry IV, S.E. Bier, G.C. Blackmer, I.B. Boland, G.M. Boone, H. Bosbyshell, W.A. Bothner, E.L. Boudette, S.A. Bowring, D.C. Bradley, B.R. Bream, W.C. Burton, M.W. Carter, T.W. Clark, C.W. Clendenin, C. Dietsch, M.J. Dorais, A.A. Drake Jr., D. Eusden, R.T. Faill, M.P. Foose, J.M. Garihan, K.A. Gillon, G.N. Hanson, N.L. Hatch Jr., J.C. Hepburn, M.W. Higgins, C.S. Howard, A.M. Hussey II, J.L. Kalbas, P. Karabinos, D. Lavoie, M. Malo, R.W. Mapes, J.D. Marr, A.H. Maybin III, C.E. Merschat, A.J. Merschat, B.V. Miller, C.F. Miller, R.H. Moench, P.G. Nystrom Jr., W.D. Orndorff, W.A. Ranson, P. Robinson, P.E. Sacks, W.E. Schenk, R.B. Scott, J.H. Sevigny, J.F. Slack, D.B. Spears, D.B. Stewart, E.F. Stoddart, W.A. Thomas, J.B. Thompson Jr., M.D. Thompson, C.H. Trupe III, W.E. Trzcienski, R.D. Tucker, B.G. Watts, D.P. West Jr., T.E West Jr., R.A. Wilson, R.P. Wintsch et R.E. Zartman

Collaborateurs pour les données extracôtières : D.R. Hutchinson, K.D. Klitgord, R. Macnab, J.D. Phillips, S.-G. Shih et J.D. Unger

Lecteurs critiques : S.M. Barr, S. Castonguay, J.C. Hepburn, J.W. Horton Jr., D. Lavoie, N. Rogers, D.T. Secor Jr., D.B. Stewart et C.E. White

Figures

Les figures englobent les dessins au trait et les photographies. On déconseille d'utiliser la couleur à moins que cela ne soit absolument essentiel pour communiquer le message scientifique puisque le Ministère, en adoptant la politique gouvernementale de publication, sans superflu, s'engage à utiliser des méthodes économiques de présentation et de production de l'information. Tous les renvois aux figures dans le texte doivent suivre un ordre numérique. Les figures doivent être présentées dans une forme reproductible (les fichiers numériques sont préférés) et elles sont imprimées à la même échelle (voir Préparation de figures : lignes directrices).

Le principal élément à se rappeler lors de la préparation des figures est sans contredit, à part le fait qu'elles soient vraiment nécessaires dans un rapport, que seuls les renseignements essentiels doivent être présentés. Omettre les détails qui ne figurent pas dans le texte ou qui n'ont aucun lien direct avec celui-ci. Si, par exemple, l'auteur décrit un système de failles qu'il a trouvé à la surface et dans plusieurs sièges d'extraction d'une propriété minière, le dessin ne doit pas être rempli des détails des bâtiments de la mine, des routes et des pistes, des gisements de minerai ou des sièges d'extraction non liés à la configuration de la faille. S'il faut aussi illustrer le réseau de veines de la propriété, envisager d'ajouter une figure pour éviter de surcharger la première.

La flèche d'orientation sur une figure doit indiquer le nord. De manière générale, il est préférable d'utiliser une échelle graphique plutôt qu'une échelle numérique puisque l'échelle graphique peut s'appliquer aussi bien à l'élargissement qu'à la réduction de la figure. Il faut au moins une série de coordonnnées (latitude et longitude) sur la figure, le cas échéant.

Il faut également fournir des listes séparées de légendes complètes et de légendes résumées pour les monographies. Les légendes résumées sont utilisées dans la liste d'illustrations fournie dans la table des matières au début du rapport. S'assurer que toutes les figures et que tous les tableaux sont cités dans l'ordre au moins une fois (ceci ne s'applique pas aux annexes). Ne perdez pas de temps à incorporer le titre dans la figure; tous les titres (et toutes les légendes) font partie du texte et seront indiqués dans le processus de production.

Les caractères en italique sont utilisés pour les noms des plans d'eau. Les majuscules sont préférées pour les étiquettes à l'intérieur d'une figure; la première lettre de la chaîne et tous les noms propres sont mis en majuscules. éviter d'utiliser des sigles et des abréviations; si c'est nécessaire, les expliquer dans la légende. Des majuscules peuvent être utilisées dans une étiquette si le but est de montrer une association entre un groupe d'éléments, p. ex. l'identification de provinces géologiques dans une figure.



Photographies

À l'exception de photographies de fossiles regroupées, que l'on nomme «planches» dans les publications de la CGC, dans le corps du texte, les photographies sont citées en tant que figures. Les photographies doivent être transmises non montées. Ne pas utiliser de transparents. Les planches doivent être montées sur un carton rigide. Tout le lettrage et toute l'identification doivent être faits sur la planche avant de la présenter. Les dimensions de la planche pour la reproduction en grandeur réelle est de 18 cm sur 23 cm (y compris le numéro de la planche).

Les photographies destinées à la publication doivent être présentées avec la légende complète et la légende de la figure doit indiquer le nom du photographe. Les photographies de sujets humains peuvent être utilisées seulement avec la permission de la personne en question ou si les sujets ne peuvent être reconnus une fois la photo imprimée.

Les points suivants doivent être pris en compte au moment de choisir les photographies :

  1. Les originaux doivent être techniquement de bonnes photographies. On ne peut pas faire grand chose avec un cliché de paysage sous-exposé. Se rappeler qu'une fois imprimée, la photo perdra un peu de sa clarté.
  2. Les clichés panoramiques, quoique très utiles au bureau, perdent beaucoup lorsqu'ils sont réduits à la taille d'une page. Ils sont trop longs pour leur largeur et finissent par ressembler à des bandes étroites où n'apparaissent pas la majeure partie des détails.
  3. Les photographies non cataloguées ne seront reproduites qu'avec une mention de source.
  4. Si une illustration en particulier semble intéressante à publier, il est possible que d'autres personnes veuillent l'utiliser aussi. Cependant, pour qu'une photographie de la CGC soit cataloguée, l'auteur doit utiliser les formulaires PUB 3013 and 3014 dans le système d'IPP (accessible aux employés du SST seulement) et les lignes directrices préparés par la Section des éditions scientifiques et techniques. Vous pouvez voir des échantillons de ces formulaires en allant à la page des formulaires. Sans numéro de catalogue, la photothèque ne peut répondre aux demandes externes. Les numéros de série doivent être clairement indiqués sur toutes les photos aériennes (p. ex. NAPL T 127L-182).
  5. Les photomicrographies ne sont pas cataloguées.
  6. Ne pas trop utiliser d'illustrations. Seules les photographies qui contribuent matériellement au sujet du rapport doivent être choisies. Il faut que toutes les photographies soient citées en tant que figures ou planches au moins une fois dans le texte.
  7. Les photos doivent être en bon état, sans fissure ni marque de trombone, puisque se sont des défauts impossibles à maquiller.
  8. N'écrire à l'arrière de la photographie que lorsque c'est nécessaire. Un crayon à mine dure peut créer un relief au verso. Utiliser un crayon à mine tendre ou un crayon stabilo pour inscrire le numéro de la figure. Indiquer le sens de la photo.
  9. Toutes les photographies doivent comporter une échelle :
    1. Utiliser une échelle graphique sur les photomicrographies plutôt que des grossissements. Cela évite qu'il y ait des erreurs de légende s'il fallait changer l'échelle de la photomicrographie lors de l'impression.
    2. Un marteau de géologue ou une boussole donne une bonne échelle dans le cas des photographies d'affleurements. Pour utiliser une pièce de monnaie, ajouter le diamètre dans la légende. éviter d'utiliser des personnes pour donner l'échelle puisqu'il faut obtenir leur permission pour reproduire leur photo dans une publication.


Tableaux

Les tableaux doivent être soumis sous forme numérique et de copie papier en utilisant le format tableau de WordPerfect ou Excel. Les tableaux ne seront pas retapés. Ils reçoivent des numéros en chiffres arabes. Les titres doivent être courts. Ne pas placer une simple liste dans un tableau. Si le rapport comprend un grand nombre de tableaux, ou des tableaux très longs, ceux-ci doivent être regroupés dans une annexe ou même dans un dossier public séparé.

Se rappeler que des tableaux clairs et bien faits qui sont faciles à lire sont une partie importante d'un rapport scientifique.



Références

Cette section, placée à la suite du corps du texte, est décrite dans la section «Références» et contient les mentions d'auteurs et les dates utilisées dans le texte pour renvoyer le lecteur aux références bibliographiques.



Annexe

L'annexe, placée après les «Références», est l'endroit pour présenter des renseignements détaillés qui ne font pas partie intégrante du rapport principal. Les tableaux longs, les profils stratigraphiques, les listes de lieux, les analyses et les données numériques sont des exemples typiques d'annexes qui doivent être classées par ordre alphabétique. Cependant, pour diminuer les frais de publication et réduire la taille d'un rapport, il est préférable de publier les données justificatives dans un dossier public auquel on fera référence dans le rapport. Les données qui doivent accompagner une publication sous forme d'annexe peuvent être présentées dans des fichiers numériques qui, une fois révisés, peuvent être publiés avec l'article sur une disquette ou un CD-ROM.



Notes complémentaires

Les notes complémentaires ne sont pas utilisées dans les rapports de la CGC sauf pour ce qui est des adresses des auteurs, des affiliations dans le cas des compendiums et des sources de financement dans le cas des rapports de la série Recherches en cours. D'autres programmes, comme ceux du SPS, peuvent être mentionnés dans la section Remerciements du rapport.

Les commentaires ou les explications détaillées qui sont nécessaires pour la compréhension du texte doivent être incorporés dans le texte entre parenthèses. Lorsque l'auteur prend connaissance d'un renseignement pertinent essentiel à son article après la rédaction ou à l'étape des épreuves, il peut les ajouter à son article sous forme d'un addenda placé à la fin, plutôt que dans une note complémentaire.



Projets en collaboration

Les auteurs doivent informer le personnel de rédaction lorsque le rapport ou la carte est le produit d'un projet en collaboration (comme les Ententes sur l'exploitation des ressources minières) de la CGC avec d'autres organismes fédéraux, provinciaux ou externes. De cette façon, on s'assurera que les logos et les formules appropriés, conformément aux normes ministérielles et aux ententes en cours, seront ajoutés à la publication (voir la partie Remerciements ci-dessus).



Paléontologie

Les exigences particulières des rapports paléontologiques sont décrites dans la partie intitulée «Paléontologie».



Index

Si un index est nécessaire, le rédacteur demandera à l'auteur de mettre en surbrillance les entrées de l'index en même temps qu'il vérifiera les épreuves.

Les noms de personne, les noms géographiques, les noms des sociétés minières, les noms des roches et des minéraux, les processus géologiques et les unités et provinces géologiques figurent habituellement en index (voir aussi Travaux publics et Services gouvernementaux, 1997).


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2006-06-09Avis importants